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Prendre soin de soi avec Couleur Caramel

Comme je te le disais dernièrement, j’ai décidé de penser un peu plus à moi. D’autant qu’avec cette grossesse qui me laisse fatiguée comme jamais, j’ai bien besoin de me cocooner, de m’occuper de ma petite personne. Bref, de tout faire pour me sentir bien.

Pour moi, ça commence avec le fait de m’apprêter pour me sentir jolie. Quand je me sens jolie, je me sens forte et quand je me sens forte je peux tout faire (ou presque… Me demandez pas de passer l’aspirateur, je suis allergique!).

Comme j’ai toujours une peau très fragile, j’ai choisi d’utiliser des cosmétiques avec une composition clean afin d’éviter de nous mettre (petit-flocon et moi) en contact avec des produits plus que douteux.

En mai dernier j’avais eu la chance de pouvoir tester la marque de maquillage bio et naturelle Couleur Caramel.

Petit retour sur 6 mois d’utilisations :

Je suis toujours aussi conquise par la palette “nude” et ses ombres à paupières canons que j’utilise tous les jours (enfin… Tous les jours où je me maquille). J’ai presque fini le mascara. Durant l’été j’ai un peu regretté le fait qu’il ne soit absolument pas waterproof, mais vu que mes cils ont poussés et se sont étoffés (si si c’est vrai), je lui pardonne. Le crayon à sourcil semble inusable et est toujours aussi parfait et adapté au brun de mes sourcils.

Du coup, après un bilan aussi positif, c’est tout naturellement que je me suis tournée, de nouveau, vers Couleur Caramel pour compléter ma collection de maquillage bio, éthique et naturel.

Cette fois-ci je me suis occupée de mon teint (est-ce pour camoufler mes cernes de 3km de long? Je ne saurais dire). J’ai donc craqué sur :

Une bb crème bio (teinte beige clair), un fard à joue bio mat (teinte pêche), des perles sublimatrices arc-en-ciel et un rouge à lèvre glossy (teinte bois de rose).

Le tout bio, naturel et vegan. Le top, quoi!

couleur caramel maquillage bio

Comme je m’y attendais, j’ai été ravie!

La bb crème est parfaite. La couleur est exactement celle de ma peau et, appliquée au “beauty blender” (tu trouves pas qu’on dirait une vraie blogueuse mode quand j’utilise des mots savants comme “beauty blender”?) le fini est quasi invisible et très naturel.

Le fard à joue doit être utilisé avec parcimonie car il est très pigmenté et qu’il est facile d’avoir la main un peu lourde. Mais la couleur est très chouette et donne du peps au visage. En revanche j’ai un peu plus de réserves en ce qui concerne son packaging. Autant je suis fan du côté “carton” de tous les autres produits, autant celui-ci me semble assez fragile. Il s’est d’ailleurs cassé au moment du transport (et ce malgré le soin apporté à celui-ci). J’avoue avoir donc un peu peur de le mettre, un jour, dans ma trousse de toilette et de le retrouver en miette au moment de sortir ma brosse à dent.

couleur caramel maquillage bio

Pour ce qui est des perles sublimatrices elles laissent un nacré très discret sur la peau. Si vous aimez l’effet disco-boule-à-facette passez votre chemin. Je l’applique sur les pommettes, le haut des paupières et le nez et les perles créent juste un délicat effet de lumière. J’aime beaucoup.

Le rouge à lèvre est très agréable car ça texture est légère et ne colle pas. On a pas l’impression de “porter” un rouge à lèvre. Pour moi qui suis une grande angoissée du gloss-glue et du rouge à lèvre trace-à-dents il est parfait et la couleur est intense sans être trop voyante. C’est idéal pour moi.

Allez… Si vous voulez voir ce que ça donne en vrai : Tadaaam! Voilà! (je vous fait grâce des 57 autres photos toutes floues… Les selfies et moi c’est pas encore ça….^^)

couleur caramel maquillage bio

Encore merci à Couleur Caramel de m’avoir permis de renouveler l’expérience

Enfin 3 mois et la certitude…

Dès lors qu’on a eu des soucis de conceptions, que ce soit en passant par la PMA ou non, il est difficile de se réjouir complètement les premiers mois.

On a beau savoir que l’on est enceinte, en ressentir tous les symptômes, avoir envie d’y croire, une partie de nous reste toujours septique.

On passe donc les trois premier mois les fesses serrées et les doigts croisés (et je t’assure que ce n’est pas une position des plus agréable), en ce disant : “pourvu que je ne fasse pas de fausse couche”, “pourvu que le bébé soit normal”, etc.

Puis arrive enfin le troisième mois tant attendu… Tout semble en ordre, on prends rendez-vous pour la fameuse “première” écho ( parce que celle d’avant, réservée aux PMettes et compagnie, compte pour du beurre).

On s’y rend la peur au ventre. Et si le bébé n’était pas “normal”…. Pour être honnête, ça a toujours été ma plus grande angoisse. J’ai le plus grand respect pour les hommes et les femmes qui choisissent d’élever un enfant différent, mais Chéri-chéri et moi, on ne s’en sent pas capable. Nous en avons discuté, longuement, et nous savons qu’elle serait la difficile décision que nous prendrions, si le cas se présentait.

Je sais qu’une telle décision ne nous laisserai pas indemne. Faire tout ce cheminement pour avoir des enfants et abandonner comme cela, tout ça pour un petit bout de chromosome en plus. C’est injuste, peut être… Et, après tout, qui sommes nous pour décider de qui doit vivre ou non?

Oui, mais c’est notre vie à nous aussi, l’équilibre de notre famille, notre couple qui est en jeu. Et nous avons le droit de ne pas nous sentir capable de porter ce poids sur nos épaules. Nous avons le droit de choisir, quitte à vivre avec une sourde culpabilité à nous partager pour le restant de nos vie.

Alors hier, en me dirigeant vers le cabinet d’échographie, c’est à tout ça que je pensais. Je me suis allongée sur la table d’auscultation. J’ai frissonné au contact du gel sur ma peau. J’ai senti la sonde appuyer sur mon ventre, et les images sont apparues à l’écran. Immédiatement je l’ai vu. Il a fait un petit bond et est venu se reloger tout au fond de moi. Il était là, plein de vie. Et j’ai su qu’il allait bien. En apercevant son profil bien dessiné et sa nuque fine j’ai su qu’il serait le plus beau des bébés (ex-æquo avec sa sœur, bien sûr^^).

J’ai pleuré ( hum… J’vous ai déjà dit que j’étais fatiguée…)

Je l’ai observé sous toutes les coutures. Il faut dire qu’il s’est laissé faire de bonne grâce. Petit-flocon a donc bien deux jambes et deux bras avec les bourgeons de tous ces doigts et orteils, un petit cœur qui bat et un cerveau comme une petite noix…

Et, après une étude poussée de son anatomie, il semblerait bien que Petit-flocon soit, un réalité, une petite-floconne (bon… Va falloir trouver un autre nom!). Bien entendu il faudra attendre l’écho de février pour en être sûr, mais nous sommes très heureux!

petit-flocon

 

2 mois de fatigue

Voilà tout est dit.

Je rentre dans mon deuxième (à non… troisième^^) mois de grossesse et je suis fatiguéee…

Tu vois le genre?

Je n’avais pas vécu ça pour Bébou. En même temps faut dire que c’était l’été, j’étais en vacances et j’en fichais pas une. Dans ces conditions, forcément je n’étais pas trop fatiguée…

Mais là avec le boulot, ma fille (ah ooui c’est vrai j’avais pas d’enfant la première fois, génie de la déduction quand tu nous tiens!), les travaux de la maison et la gestion du quotidien, je suis plus-que-fatiguée. Je crois que je pourrais dormir mille ans. En mode belle-au-bois-dormant mais sans le baiser du prince aux perversions cheloues. [T’as déjà remarqué que les princes des contes c’était tous un peu des violeurs? A embrasser des filles sans défenses sans leur consentement quand elles dorment (et encore je te parle pas de celui qui embrasse une fille qu’il croit décédée: Paye ton halène de mort!).]

Bref. Tout ça pour dire que je suis HS.

Si je m’écoutais j’arrêterai même de bosser, tiens! Faut dire que c’est un peu la misère au boulot et que l’ambiance avec la direction a tendance à me démotiver sévère. Mais bon, soyons honnête s’arrêter à même pas 3 mois de grossesse c’est peut-être un brin too much.

Arf… Comme ils sont longs ces premiers mois! Je lis de partout que la deuxième grossesse on en profite plus, qu’on savoure… Bah moi je voudrais déjà que ce soit fini que le bébé ait 6 mois et puis c’est tout! #Teamimpatiente

Je me demande sérieusement comment je vais tenir 6 mois supplémentaires à ce rythme. Oui, ouii… Je sais, qu’après on a un regain d’énergie… Enfin, j’espère! Parce qu’à ce train là je vais finir par ressembler à une vieille serpillière trop essorée.

Bon voilà c’était mon article geignarde du soir… Il est 21h je m’en vais dormir comme une mamie (encore que la mienne de 91 ans me semble bien plus vaillante…).

Rassure-moi, dis-moi que je ne suis pas la seule dans ce cas, et que celui-ci n’est pas aussi désespéré que ça.

Bon allez… On mets un coup d’anti-cernes, on sourit et c’est reparti mon kiki!

2 mois de fatigue

Quand doit-on annoncer sa grossesse?

On dit souvent que l’on peut annoncer sa grossesse à partir du 3ème mois. A partir du moment où la plupart des risques de fausse-couches sont écartés.

Il est clair qu’ici je n’ai pas respecté cette règle. J’ai annoncé ma grossesse le jour même où j’ai reçu les résultats de ma prise de sang. Soit à 15 jours de grossesse. Disons que c’est ce qui arrive quand tu racontes tes problèmes de procréation à la terre entière. Tu ne peux pas décemment revenir après 3 mois entier de suspense pour annoncer le résultat de ton transfert…

Et pourtant, j’ai senti quelques inquiétudes (pour ne pas dire des réticences) dans mon entourage. Est-il possible que j’ai annoncé ma victoire sur l’endométriose trop tôt?

 

Dans quelques heures maintenant, je vais aller faire ma première échographie. C’est elle qui déterminera si, oui ou non, je suis VRAIMENT enceinte. En matière de FIV, PMA et autre TEC (comprenne qui pourra) deux prises de sang positives ne suffisent pas. C’est un petit point noir clignotant sur une écho qui permet d’officialiser la réussite.

Cela fait 1 mois seulement que l’on m’a transféré mon petit flocon (Chéri-chéri voudrait qu’on l’appelle “freezer”^^) : mon embryon cryoconservé de 2 jours fabriqué il y a 3 ans.

Je me sens enceinte.

J’en ai tous les symptômes et j’ai même un petit ventre qui commence à poindre (mais peut être est-ce dû aux traitements que je prends encore). Toujours est-il que j’ai envie de croire qu’il y a la vie qui grandit en moi…

Oui mais… Et si ce n’était pas le cas. Si demain le petit coeur ne battait pas? Si tout devait s’arrêter…

Et bien si tout devait s’arrêter là, je sais que je pourrai compter sur votre soutient, celui de mes proches et de tous ceux qui savent. Je n’aurai pas besoin de cacher ma peine. Je ne me sentirai pas incomprise dans ma douleur. Car il est difficile de demander aux autres de compatir à la perte d’une chose dont ils ignorent l’existence.

Si demain il n’y a pas de petit point qui clignote je serai triste, bien sûr, mais je ne serai pas seule.

 

Petit édit :

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Cher petit embryon,

Du haut de tes 48h et tes 4 petites cellules tu as déjà vécu un sacré périple depuis ta conception il y trois ans, dans une petite boîte de pétri au centre PMA de Lille, jusqu’à ton implantation, ici, au creux de moi il y a deux semaines.

Tout à commencé en mai 2013…. Mmmh, non. Tout a commencé en juin 2007 lorsque j’ai rencontré ton père. J’ai très vite su qu’il serait le père de mes enfants. Vois-tu, c’est une véritable tête de mule, mais il est ma moitié, celui qui me complète, qui m’équilibre…. Même si parfois j’ai bien envie de l’étrangler….

Alors voilà, bon an mal an, on a apprivoisé, nourrit et construit notre amour et, un jour, nous avons eu envie de le concrétiser avec un enfant. C’est moi qui en ait eu envie en premier. Chéri-chéri, lui, était un peu frileux, nous trouvait trop jeunes.

Je lui ai dit : “Avec moi il va falloir s’y prendre tôt. J’ai un problème, je le sais.”

“Comment tu le sais? Tu as fait des examens?”

“Non. Je le sais. C’est tout. Je l’ai toujours su.”

“Mais c’est n’importe quoi ça!! C’est dans ta tête…”

Sauf que, vois-tu petit embryon, ce n’était pas que dans ma tête. Par hasard, lors d’une échographie de routine on m’a découvert un drôle de kyste. On a fait des examens poussés et le verdict est tombé : Endomètriose de stade 4 avec infertilité sévère.

Curieusement cette annonce m’a autant soulagée qu’elle m’a rendue triste. Il y avait bien un problème et maintenant qu’on avait mis le doigt dessus. Il n’y avait plus qu’à le contourner. Bon… Là j’avoue que j’édulcore un peu mais je vais pas te raconter mes errances doctissimiennes (tu es un peu trop jeune pour ça).

Après un petit nettoyage de printemps intra-utérin, nous nous sommes donc lancés, avec ton père, dans une chouette procédure de PMA (procréation médicalement assistée) en 2013. Que du bonheur! Piqûre, échographie, prise de sang, piqûre échographie, ponction… Une vrai sinécure!

Et là! la pêche miraculeuse! une bonne vingtaine d’ovules pour moi. Un bon milliard de spermatozoïdes pour lui. On les a laissé tranquillement faire leurs affaires dans des p’tits pots… Et paf! Ca a fait des chocapics des embryons. Huit même!

Pour le coup on a quand même bien déchiré avec ton père, non?

On nous a implanté un embryon parmi les huit. Nous l’avons appelé “Pépin”. Il s’est accroché. Il a poussé. Pépin est finalement devenu “Pépinette”, puis “Bébou” (en tous cas sur ce blog, en vrai elle a un prénom bien plus joli).

Je ne saurais pas te dire pourquoi c’est cet embryon qui a été choisi. Ce n’était même pas le plus beau. C’était peut être le destin. J’en sais rien. En tous cas ce n’était pas toi.

Toi tu as été congelé avec tes 6 autres compagnons.

Et puis nous avons déménagé. Ta soeur est née. Une vraie petite merveille de la nature, de la science, de la vie quoi.

Et toi tu es resté à Lille. Puis nous nous sommes décidés à aller te chercher. Ca a été une sacrée expédition!

On s’est dit que le plus dur était derrière nous. Mais rien n’est jamais aussi simple dans la vie… Il a fallut réopérer, recommencer les traitements, se heurter aux difficultés… Ne pas se laisser abattre et recommencer.

Et puis, le 13 septembre dernier. Un gars du labo t’as choisi. Pourquoi toi plutôt qu’un autre. Je ne sais pas. Le destin peut être. Il t’a installé confortablement au creux de mon ventre. Et le soir, à l’abris des regards, je t’ai parlé. De nous, de notre famille, de ta soeur et de ton père. Je t’ai dit : “allez viens! On sera bien tous les quatre. Accroche-toi! Tu verras on est un peu fous mais on est sympa!”

Et tu t’es accroché.

Rien que de l’écrire je me sens toute émue. Il y a la vie en moi. Alors, bien sûr, l’aventure est loin d’être terminée. Il faudra d’abord vérifier si ton petit coeur bat bien. Puis il faudra attendre la fin des trois mois fatidiques.

Mais tu es là. Et c’est déjà ça.

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Ma charte de maman

Coucou l’internet!

L’autre jour en faisant du tri je suis retombée sur un petit carnet sur lequel j’avais noté toutes les infos relatives à ma première FIV ( Ponction le 15 mai 2013/ Restitution le 17 mai / Résultat le 31 mai) etc.

Puis sur la fin de la page j’avais rédigé une sorte de charte de grossesse. Comme une petite note à moi-même pour éviter de dériver quand je serai enceinte. Je vous la retranscris ici telle quelle (avec les commentaires adéquats)

  • Ne pas devenir une grosse vache. {Il faut s’avoir que, lorsque j’ai écrit cette charte, je n’étais pas franchement ce que l’on peut appeler quelqu’un de mince. J’ai toujours été très trop gourmande et j’avais très peur que la grossesse ne devienne pour moi une excuse pour grignoter des saloperies à tout va. Tout s’est plutôt bien passé de ce côté là. Je n’ai pris que 10kg pendant la grossesse…. En revanche je n’avais pas pensé à l’allaitement…. Là j’ai pris le fait de nourrir un petit être comme excuse pour m’empiffrer… Le résultat n’était pas beau à voir.}

  • Manger sainement et en quantité correcte {… Je ne me faisais pas vraiment confiance sur ce coup on dirait…^^}

  • Bannir le Pilou-pilou { Pendant la grossesse impeccable, j’ai même pris assez soin de ma petite personne, je me sentais sexy et en pleine forme… sauf sur la fin… J’ai un peu craqué sur le pilou-pilou parce qu’il n’y avait plus que ça qui m’allait… et je n’allait pas racheter des vêtement pour 1 tout petit mois… Bon pour la prochaine fois si DNLP (Dame nature la Pioute, pour les non-initiés à la PMA) le veux bien je ferai mieux! Promis!}

  • Tee-shirt à message sur le bide interdit { J’ai tenu bon! }

  • Continuer de sortir { Bah oui… J’ai même fait une rando raquettes à 9 mois (j’avais vraiment envie d’accoucher!)… OK! Je sais que c’étais pas ça que je voulais dire…. Ouii mais j’ai atterri dans le trou du fin fond de la Savoie… Y a pas trop de bar sympa là-bas… Puis j’ai pas d’ami, pas d’argent, pas de baby sitter… Bon Ok… Pas d’excuses!}

  • Ne pas parler que de bébé et de grossesse { C’est dur mais j’y arrive!… Sauf sur ce blog!^^ }

  • Prendre soin de moi en tant que femme { si on prend en compte ma période serpillière après la naissance de Bébou, je pense qu’on peut dire que c’est un raté. Sinon, aujourd’hui j’y travaille au quotidien, et parfois j’y arrive.}

  • Continuer d’avoir une vrai vie de couple {Là j’avoue je suis très fière mais c’est une réussite. Spéciale dédicace à Chéri-chéri! Yeah}

  • Laisser [Chéri-Chéri] faire { ça a été dur, j’y travaille encore… mais je fais des progrès et il a su prendre une place importante dans l’éducation de notre fille. Chéri-Chéri je t’aime! (oui, je sais il ne me lit pas, et alors…)}

  • Laisser notre enfant vivre, se tromper, se faire mal { j’avais un peu peur d’être sur-protectrice. Cette peur était, semble-t-il, infondée. Je suis très zen avec ça et je laisse bien Bébou expérimenter seule.}

Je me rend compte de ma naïveté au moment d’écrire cette charte. Je n’avais vraiment aucune idée de ce qui m’attendait… Si j’avais su je me serais prémunie de la chute post natale…

Je pense que je réitérerai cette liste en mode Do/Don’t pour la prochaine fois (allez on croise les doigts!)