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Une belle robe avec Kidiliz

Coucou l’internet!

Aujourd’hui je reviens (déjà) pour un post plus léger.

Je viens te parler de la petite robe blanche de ma Bébou et de son bandeau assorti (le tout Jean bourget) achetés chez Kidiliz. J’en avais déjà parlé sur Instagram pour celle qui me suivent. Mais je tenais à en reparler rapidement ici.

Alors voilà. Pour celles qui me lisent de temps en temps, vous devez savoir que je suis du genre “pauvresse” et que, pour ma fille qui grandit plus vite que son ombre, je privilégie souvent les brocantes et les soldes de marques bas de gammes.

Oui mais voilà. De temps en temps on a quand même envie d’offrir à son enfant des trucs un peu mieux. Que ce soit pour durer ou pour une occasion particulière (comme ce week-end l’était pour moi).

Et, comme j’aime bien faire des affaires (c’est une question de principe ici) j’ai totalement adhéré au site Kidiliz qui propose une sélection de vêtements de bonne qualité (Jean Bourget, Lili Gaufrette, absorba, catimini, IKKS, Gaultier Junior etc.) à prix ronds et soldés.

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J’ai complètement craqué pour cette robe en mousseline de coton à plumetis blanc, le bandeau à fleurs de tissus assorti (Jean Bourget) et cet adorable gilet en lurex doré (catimini) avec des détails triangles sur les épaules et des petits palmiers sur la doublure : à croquer! (“Malheureusement” il faisait tellement beau ce week-end que je n’ai pas pu lui mettre. C’est pas grave… Je trouverais bien une occasion, il va avec tout!)

Allez je vous montre ma princesse avec sa robe de “princesseuh qui tourne” (si si!)

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Pour celles qui n’auraient pas d’inspiration, le site propose même des idées de tenues trop choup :

 

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Et, même si le site (et son classement) peut parfois s’avérer obscure, ça vaut le coup d’y fouiner car on y trouve des pépites!

Merci à Kidilz de m’avoir permis de découvrir ce site de vêtements de qualité. J’ai été comblée au delà de mes attentes! Le tissus de la robe et les finitions étaient vraiment parfaites. Le tout pour un prix vraiment raisonnable au vu de la qualité.

Ma famille douce amère

Il y a un an tout juste, mon père m’a appelé, un soir gris de septembre, pour m’annoncer sa décision de quitter maman. J’avais été préparée. Mais, après 33 ans de mariage, je dois avouer qu’une partie de moi espérait que Papa reviendrait sur sa décision. Même si, au fond, je la savais inéluctable.

Je ne m’étendrai pas, ici, sur les raisons de cette séparation. Elles font parties de leur histoire et ne m’appartiennent pas.

Ce que je peux vous dire c’est que j’ai eu peur plus que je n’ai été triste.

D’abord, j’ai eu peur pour eux. Mes parents se sont aimés (et s’aiment encore) comme peu de couples que j’ai connu. Et je savais que cette séparation allait les bouleverser chacun à leur manière.

Ensuite j’ai eu peur pour ma famille. Peur que ma relation avec mes soeurs ne se fragilise, que les éventuels différents de nos parents ne nous opposent, ne nous éloignent. J’ai craint qu’on ne puisse plus jamais se retrouver réunis, tous ensemble, comme avant.

J’ai eu peur. J’ai fermé très fort les yeux. Je les ai ré-ouvert. Rien n’avait changé. Alors je me suis dit que nous allions faire avec. Qu’il le fallait. Que notre famille le méritait.

Nous devions nous trouver un nouvel équilibre, différent, précaire, peu conventionnel… c’est vrai. Mais il serait le notre désormais. J’ai su très vite que nous allions tous devoir apprendre à apprivoiser cette “nouvelle” famille. Et, même si elle est un peu brindezingue, un peu de guingois, elle est MA famille et je l’aime.

L’année dernière, pour les 90 ans de ma Maminette (la maman de mon papa) nous avions décidés de nous retrouver en famille, non pas dans 10 ans mais dans 1 an (je rappelle que Maminette a 90 ans), même jour, même heure, même pomme, histoire de remettre ça pour les 91 ans de ma super grand-mère.

Puis il y a eu la séparation, le déménagement, le travail de deuil à entamer (déni, colère, expression, dépression, acceptation), la communication à rétablir. Le tout jalonné de hauts et de bas… “La vie n’est pas un long fleuve tranquille ma fille” comme dit ma mère. Et bien non. Définitivement elle ne l’est pas.

Ce week-end avait donc un goût particulier pour moi. Car c’était la première fois que nous allions être réuni depuis ce bouleversement dans notre famille. Et que Maman serait de la partie.

Rien n’aurait pu me faire plus plaisir.

Car oui. La place de ma mère était bien là, parmi nous. Et, même si celle-ci est encore floue, pas bien délimitée, un peu dure à tenir, douloureuse parfois aussi, elle n’en est pas moins douce et légitime.

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Pour l’occasion Bébou avait revêtu sa robe de princesse (je vous en reparlerais demain)

Elle était si fière dans sa jolie robe! Et encore… rien comparé à ses parents!

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Allez… Je vous partage quelques photos de ce beaux week-end (Merci à Nico de m’avoir laisser jouer avec son appareil! J’veux le même!)

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Un petit soutien…

Il y a quelque temps j’ai reçu le mail le plus adorable qui soit de la part d’une fille que je ne connais pas. Elle qui avait découvert mon blog par hasard, elle voulais juste m’apporter son soutient. me dire mon courage de parler de la PMA, comme ça, en le traitant (je cite) “comme si ce n’était que quelques embûches pour arriver à [mes] fins mais pas une finalité en soi”. C’est rien de dire que j’étais grave émue et que j’ai vite eu les yeux moites (il faut dire que j’ai la larme facile…).

Bien entendu je lui ai répondu pour lui dire à quelle point son petit mail m’avait fait chaud au coeur. De fil en mail et d’aiguille en courriel on a discuté, de nos points de vues, de nos parcours, de nos réussites.

Et puis, au détour de nos conversations est née l’idée de partager nos expériences sur le blog. On a choisi de le faire sous forme d’interview. L’idée étant de partager des expériences différentes mais qui ont eu des fins heureuses. Avoir des témoignages positifs peut aider lorsqu’on est “dans l’enfer de la PMA”. Pour éviter de n’avoir que la version “doctissimo” de la procréation médicalement assistée (il ne faut pas y aller!) Car les femmes qui s’y épanchent n’y vont que lorsque ça va mal. Quand ça marche personne ne vient crier son bonheur. Du coup ça donne une image très négative des procédures.

Alors voilà. Elle a choisi son Pseudo. J’ai posée des questions et voilà. Cher lectrice (et cher lecteur si il y en a…) je te présente 🌟WonderPMette🌟. WonderPmette, je te présent l’internet.

1. Mon parcours (enfin notre parcours à moi et à mon mari). 

En faite cela a commencé à mon adolescence avec l’arrivée de mes premières règles. Elles étaient d’une douleur intense, tellement intense, que je restais par terre recroquevillée sur moi-même en pleurant. Je loupais les cours quelques jours tous les mois. Mon médecin m’a mise très tôt sous pilule ce qui a bloqué mes règles et a calmé “légèrement” les douleurs. Mais à chaque menstruations j’avais toujours les mêmes douleurs qui apparaissaient. Difficulté à uriner, et/ou à déféquer ou alors diarrhée carabiné. Nausées, douleurs ligamentaires, douleurs fortes dans les reins. Douleurs dans le bas ventre insoutenables, que même le spasfon ne calmait pas du tout, fatigue extrême. Bref je te passe toute la liste de mes symptômes. Je ne me suis jamais trop inquiétée car je croyais que toutes les filles avaient ses symptômes. Et puis, plus les années passées, plus j’apprenais à vivre avec ses symptômes. En augmentant les anti-douleurs au fur et à mesure.
Et puis tant qu’on essayait pas d’avoir d’enfants je ne m’étais pas posé de questions.
Lorsqu’on s’est décidé à faire un bébé. On a essayé naturellement, puis, voyant que cela ne venait pas j’ai consulté mon gynéco qui a fait une batterie d’examens : prise de sang, prélèvement vaginal, spermogramme et même une hystérographie sans anesthésie ( je m’en souviendrais toute ma vie ça a été très très douloureux surtout quand il a attrapé mon col avec sa pince, j’ai cru que j’allais vomir de douleurs). Aucun des résultats ne montraient de causes d’infertilité, ni chez moi (même si à l’hystérographie il y avait un petit flou au niveau d’une trompe supposant un obstacle ou un rétrécissement), ni chez mon mari. Il a alors prescrit un léger traitement médicamenteux (je ne sais plus le nom). Mais il ne voulait pas me faire faire de cœlioscopie. Ni une ni deux j’ai pris les devants et j’ai consulté un spécialiste sur Paris. Qui a tout de suite prescrit une cœlioscopie. Celle-ci a confirmé le diagnostic d’endométriose que j’attendais depuis tellement d’année.
Tu sais c’est très difficile de ne pas pouvoir poser un nom/diagnostic sur tes symptômes. Voir frustrant. Je me souviens encore de mon réveil au bloc quand le chirurgien m’a confirmé l’endométriose, j’ai été délestée d’un poid pesant sur moi depuis tant d’année. J’étais rassurée.

2. Mon parcours PMA

Du coup à partir de cette cœlioscopie tout s’est enchaîné on a débuté les traitements pour une 1ère FIV. Bilan complet pour Madame et Monsieur. Puis début des piqûres, échos et ponctions. Je ne me souviens plus combien j’avais d’ovules. Mais le traitement avait bien fonctionné, je n’avais pas fais de réaction (style syndrome d’hyperstimulation ovarienne). Bref, tout se déroulait sans embûches. Malheureusement, la 1ère FIV n’a pas fonctionnée. On a fait un TEC (transfert d’embryons congelé) car il me restait des oeufs de la 1ère stimulation. Malheureusement celle-ci n’a pas fonctionnée n’ont plus. C’était en Juin 2012. Du coup, très fatiguée et très déçue, comme tu peux l’imaginer, nous avons fait une pause pendant les vacances d’été. (De toute façon le centre de PMA fermait tout l’été, ce qui m’a bien arrangé). J’avais besoin de sortir un peu de ce parcours médical lourd et pas facile à assumer psychologiquement. On a alors profité de nos vacances tant méritées. Puis au retour en Septembre, rebelote tous les examens étaient à refaire, car il faut tout refaire tous les 6 mois. Mon cycle va bientôt commencer donc on speed pour prendre les rendez-vous… Sauf que mon cycle n’arrivera jamais. Je suis enceinte!
Après 1 bonne semaine de retard je me suis décidée à faire une prise de sang (sans vraiment y croire, d’ailleurs je ne l’avais même pas dis à mon mari que j’avais du retard, tellement peur de le décevoir…). C’était positif! Ce fut l’explosion de joie, après tout ce qu’on venait de traverser… Après tout ce parcours médical. Ce petit bout venu naturellement à nous. C’était trop beau. Un vrai miracle!

3. Mon ressenti post-PMA

La Procréation Médicalement Assistée est un long parcours incertain vers la maternité.
 
Je me souviens de ma 1ère implantation (1ère FIV), en sortant de l’hôpital je me sentais enceinte, comme déjà habitée par un petit être qui grandissait en moi. On a fait super attention pendant les 2 semaines qui ont suivit. Je me suis beaucoup reposée. Je n’osais plus bouger. Et au final cela a été un échec. Juste pour dire, que si ça doit marcher et si l’œuf doit s’implanter rien ne l’en empêchera. Pendant les vacances ou je suis tombée enceinte naturellement, j’ai fais du karting, du quad et pleins d’autres activités sportives. C’était un tenace celui-la. 😂
 
J’idéalisais aussi beaucoup le fait de tomber enceinte. Je me voyais déjà : ne pas avoir mes règles, aller faire un test de grossesse et tadam! Positif! Ça c’était mon rêve de jeune femme. Qui c’est évaporé dès que les difficultés sont apparus. Car il faut bien admettre que les piqûres et les examens enlèvent un peu de magie et de mystère au processus. A la fin j’avais plus l’impression de faire un enfant. C’était devenu tellement médicalisé! J’avais l’impression d’être un cobaye pour une expérience scientifique. Et ça ce n’est pas facile à vivre, même pour les hommes!
 
Ce qui m’a gêné c’est le côté médical de la chose. Non, Parce que normalement, son bébé, on le conçoit dans sa chambre à coucher. Pas dans une chambre d’hôpital entourés de blouses blanches, une seringue dans l’utérus.
 
Je suis passée par tous les sentiments. Le pire a été la jalousie, celle de voir tes amies tomber enceinte naturellement. Surtout quand elles ne savent pas ce que tu vis et qu’une d’elle te balance : “on a mis trop longtemps à avoir notre premier… Vraiment 1 an c’est long!!”. Là en toi c’est comme un volcan en ébullition, tu as envie d’exploser. L’injustice te semble trop grande. Pourquoi moi et pas elle?! J’ai vraiment eu peur de ne jamais pouvoir sentir grandir un bébé dans mon ventre, de ne jamais voir mon corps se transformer, de ne jamais sentir la fierté de donner la vie, la peur d’échouer et de ne jamais y arriver. La peur de décevoir mon mari, mes parents (en les empêchant de devenir grand-parents). .. D’ailleurs la famille, parlons-en! Ceux qui te posent sans arrêt des questions insistantes avec les fameux “quand serais-je grand-mère? “C’est pour bientôt?”, etc. Bref une peur terrible de l’échec!
 
Il faut savoir que le soutien psychologique lors du parcours en PMA est très faible (en tout cas pour notre parcours). En ce qui nous concerne, on nous a juste donné une feuille avec la liste de plusieurs psychologues à consulter éventuellement. J’aurais vraiment aimé qu’ils organisent des groupes de rencontres/de paroles avec d’autres couples. Car le moral en prend un coup, surtout après un 1er échec, alors qu’il faut se remotiver pour repartir pour une nouveau cycle de traitements et d’examens.
 
J’ai aussi trouvé que le personnel médical n’était pas très disponible pour une vraie discussion. Vu leur charge de travail, je ne leur en veut pas 😉. C’était un peu l’usine… Le matin toutes les femmes ont faisaient la queue pour l’écho de suivi, puis on refaisait la queue à l’hôpital pour faire la prise de sang de contrôle. Il y avait beaucoup de patientes. C’est la qu’on se rend compte qu’on n’est loin d’être la seule à galérer. C’est dingue!
 
Au jour d’aujourd’hui nous n’avons jamais parlé à personne de ce parcours. Car c’est un combat que nous avons souhaité traverser tous les deux. En faite nous avons tellement ressenti une pression du monde extérieur (avec d’une part les médias et les magazines qui font ressentir que si tu n’as pas d’enfants tu as raté ta vie et d’autre part la famille proche hyper insistante et pressante). Nous avons préféré garder le silence pour éviter une pression supplémentaire. Assez de stress autour de nous, pas besoin d’en rajouter. 😉 j’avoue que cela n’a pas toujours été simple. J’aurais parfois aimé en parler à certaines amies. Mais la peur de l’incompréhension ou d’être vu différemment m’en a sûrement empêché… Même à l’heure d’aujourd’hui je fais toujours un blocage et ça ne sort pas.

 4. Notre couple

Notre couple en est ressorti plus soudé car ce combat pour donner la vie, on l’a traversé ensemble. On s’est battu physiquement et psychologiquement. Même si je dois avouer que ça n’a pas été rose tous les jours. Il y a eu des hauts et des bas dans notre relation. Même si cela fait 15 ans qu’on est ensemble et qu’on se connaît très bien j’ai découvert des facettes de sa personnalité que je ne connaissais pas, comme sa fragilité et son émotivité.

5. Aux futures PMettes 😉 (très mimi comme surnom)

D’une part je leur dirais d’écouter leur corps et leur instinct de femme car si j’avais consulté mon 2ème gynéco plus rapidement on aurait été pris en charge plus tôt.
Si vous pensez que quelques choses ne va pas, parlez-en à votre gynéco ou consultez un autre spécialiste. Au total 5 ans de combat pour avoir notre LouLou.
Ensuite mettez-vous en relation avec des couples qui ont vécu le même parcours. Il existe des associations aujourd’hui qui le permettent et qui vous apporteront un soutien et un accompagnement que l’on n’a pas forcément au centre de PMA.
Parlez beaucoup avec votre conjoint, échangez énormément, ça aide vraiment à traverser cette épreuve. Osez lui dire tout haut ce que vous ressentez intérieurement.
Accordez-vous des moments de répit pour récupérer car c’est épuisant et n’oubliez pas “l’esprit guérit le corps”. Prenez soin de vous et de votre moral (massages, vacances, yoga, etc).
Continuez à faire l’amour et entretenir la passion dans le couple car le côté “médical de la procréation” peut diminuer l’envie dans le couple. Et les miracles ça existent, ne l’oubliez jamais 😉.
Ah, oui…Et, à proscrire : les forums de discussions sur internet. Franchement ça ne vous aidera pas du tout. Juste à vous embrouiller l’esprit.

Surtout Il ne faut jamais cesser d’y croire!

D’avoir eu cet échange avec la bien nommée “WonderPmette”, je me dis que ce serait chouette de généraliser ce type d’interview. Alors, si toi aussi tu es passée par la case PMA et que tu en es ressortie victorieuse (d’une manière ou d’une autre. Parce qu’il n’est pas nécessaire de porter un enfant pour être parent, ne l’oublions pas!) écris moi à :

moipaspoule@gmail.com

Pour raconter ton expérience. T’auras même le droit de te choisir un pseudo cool! (T’as vu un peu comme je vends bien mon truc? On se croirait chez M6Boutique!)

Bises à toutes les mères, les non-mères, les mères en devenir, les belles-mères, les “naturelles et les “PMAtisées”… et bises aux pères aussi, tient! (si par hasard un mâle passait par là^^).

Let’s Fiv again, again!

Coucou l’internet!
     Voilà, ça y est, nous sommes en septembre. J’ai repris le travail, mon centre de PMA aussi… Alors voilà! C’est reparti pour un tour! D’ici précisément 8 jours on remet le couvert! C’est pas moi qui le dit, c’est “Clue”, ma super application calculatrice de règles ! (merci Soeur pour cet outil indispensable!).
     Si tu ne suis pas (encore^^) ce blog et que ce que je te dis te semble franchement chelou, vient voir par là que j’éclaire ta lanterne!
     Aujourd’hui je te parle PMA : Procréation Médicalement Assistée. Ca fait peur, hein?! Car oui, tu es sur le blog d’une fille “infertile” (c’est genre gentiment stérile, quoi!).
Tout ça c’est la faute à mon endométriose de stade 4. En gros, j’ai les ovaires pleins de kystes et les trompes bouchées à l’émeri… Autant dire que pour faire des bébé… c’était pas gagné…
 Après la découverte du chantier qu’est ma cavité utérine, l’homme et moi avons donc eu “le droit” d’essayer de façon “naturelle” (je devrais plutôt dire “traditionnelle”) pendant 6 mois… Sans succès.
Puis, pour éviter de me zigouiller un peu plus le bidule, on a arrêté les frais et on a enchaîné avec une FIV direct’! Bim! (ouaiii.. J’aime trop les onomatopées!).
Et là, ça a été la pêche miraculeuse (selon les dire du labo. Moi j’veux pas m’vanter, tu m’connais…). Résultat des courses : 8 embryons (1 implanté et 7 cryo-conservés) et la première implantation a pris… et a donné une merveilleuse petite fille : la bien nommée Bébou sur ce blog (si t’es sage je te dirais son prénom. C’est le plus beau et il veut dire “lumière” <3).

Tout ça pour dire qu’on a été drôlement chanceux, parce que, sur le papier, c’était pas franchement bien parti cette affaire.

     Nous avons pris le parti de ne rien cacher. Je n’ai pas plus honte d’avoir une endométriose que si j’avais n’importe quelle autre maladie. A vrai dire je suis même assez fière du parcours que nous avons eu. Cela a permis de nous souder plus que jamais dans notre couple (et avec un enfant, dieu-sait qu’il le faut!!^^) et aujourd’hui je peux dire à ma fille que je me suis battue pour l’avoir! Il n’y a pas d’enfants plus désirés que ceux issus d’un parcours difficile (PMA ou non d’ailleurs).
    Il est vrai qu’avec le recule je n’ai pas trop mal vécu mon passage par la PMA… Mais pour être honnête il y a eu des moments difficiles où je pleurais seule devant mon PC, bloquée sur les forums doctissimo consacrés à la PMA. Au final nous avons décidé de faire cette FIV de la façon la plus détendue possible. Après tout, si cela ne marchait pas nous adopterions.

Le but étant d’être parents avant tout… Et qu’il y a plein de façons de l’être.

     Voilà. Maintenant nous nous lançons sur une deuxième procédure (un deuxième enfant… On doit être un peu fou). La première tentative de stimulation a échoué (à cause d’un gros kyste et d’un utérus peu accueillant) il y a deux mois… Mais il est temps de se remotiver et de repartir gaiement à l’attaque! Allez! Haut les coeurs!
     C’est dans cet esprit de re-motivation que j’ai décidé de consacrer une “rubrique” (on dit rubrique pour un rdv blog? Non? Tant pis.) consacrée aux parcours d’autres femmes et hommes qui ont eu des difficultés (quelles qu’elles soient), pour concevoir et qui ont réussi à devenir parents malgré tout.
     La première interview paraîtra demain sur le blog. Et, si toi aussi tu as envie de partager ton expérience, contacte-moi sur mon mail :

         moipaspoule@gmail.com

(t’auras même le droit de te choisir un pseudo, cool,non?!)

Mes petites frites light

Coucou l’internet!

Aujourd’hui je partage avec toi ma recette de frites super light et super bonne au four! T’as vu comme je te vends bien le truc?!

Allez on y va!

Il te faut :

  • Des patates (nan… sans déc’!)
  • Du parmesan rappé
  • Des herbes de Provence
  • De l’huile d’olive
  • Du sel & du poivre

Premièrement :

Épluche et découpe les pommes de terre en grosses frites IMG_0505

Deuxièmement :

Arrose-les d’huile d’olive et remue bien (à la main ça marche mieux). Ouii… après tu as les doigts gras! (mais pense que ça les hydrates!^^). Ajoute ensuite le parmesan, les herbes de Provence, le sel et le poivre. Mélange bien de nouveau.IMG_0507IMG_0508

Troisièmement :

Bien étaler le tout sur une plaque avec du papier sulfurisé. Mettre au four à 200°C.IMG_0509

Quatrièmement :

Sortir et déguster! Miam!IMG_05112IMG_0511

Confession d’une fille normale

Normale. Voilà ce que je suis.

Je viens d’une famille tout ce qu’il y a de plus banale, classe moyenne en banlieue. Je ne suis ni très douée ni très mauvaise. Ni belle ni moche. Ni grande ni petite… Ni…. en faite je pourrais continuer comme ça pendant longtemps.

Ce qui me défini c’est d’être une fille lambda, dans la moyenne.

Et pourtant… J’aurais tant voulu être exceptionnelle, au moins dans un domaine. Mais non. Je suis juste exceptionnellement normale. Et finalement c’est déjà pas mal.

Oui parce que, si on y réfléchi bien, on se rend compte qu’il ne peut rien ressortir de bon dans l’exceptionnel. C’est extrême l’exceptionnel. Et je crois pouvoir dire qu’il ne ressort jamais rien de bon dans l’extrémité.

La vie est une question d’équilibre. De balance. Et il n’y a rien de plus stable et sûr que la normalité. Ok… Elle peut parfois être un brin ennuyeuse! Mais, à long terme, je préfère ne pas avoir fait de vague plutôt que d’avoir vécu dans une tempête permanente, faite de très hauts, mais surtout de très bas.

Mon petit bonheur normal me suffit. Il est intense et régulier. Il est facile comme un sourire de ma fille. Comme la main de mon homme dans la mienne. Mon bonheur ne fait pas de vague mais il me submerge tout entier. Moi, cette fille normale, je suffis à ceux que j’aime et c’est déjà pas mal.

DIY Mon petit vélo rose

Coucou l’internet!

Aujourd’hui je partage avec toi le “custom” (t’as vu comment je suis trop branchée tuning!^^) que j’ai fait pour le vélo de ma fille.

Il y a quelques temps ma super tata Véro m’a filé un vieux vélo qui traînait chez elle. Il marche impecc’ et Bébou l’adore!… Oui mais… C’est un vélo de garçon… Non pas que je veuille absoluement que ma fille ne possède que des trucs rose à paillettes, loin de là! Je suis pour les jouets de pompier aux filles et les poupées aux mecs et vis-versa. En fait le problème n’est pas là. En fait le truc c’est que…. Hum… Je le trouve moche. Voilà C’est dit! Désolée Véro!

Du coup j’ai décidé de me lâcher et de le pimper en rose et bleu à pois dorés (j’adôre les pois!)

Allez, je te montre tout ça!

Pour ce DIY (ou FLTM = Fait-le toi-même) il te faut :

  • Du scotch à peinture
  • Des sacs plastiques
  • Des gommettes rondes (mais ça marche avec n’importe quel motif)
  • Des bombes de peintures ( moi j’en ai pris 3 : rose, bleu marine et doré : 5,99€ chez la foir’fouille)

Premièrement :

On protège toutes les zones qu’on ne veut pas peindre (surtout celles en caoutchouc parce que la peinture ne tient pas toujours bien dessus)

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Deuxièmement :

On peint une première couche légère en doré. On laisse une sécher.

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Troisièmement :

On colle des gommettes un peu partout (ce seront les zones qui resteront dorée… Ouai, ouai j’te jure!^^)

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Quatrièmement :

On peint à la bombe par au dessus en bleu d’abord et en rose ensuite en s’éloignant progressivement lorsqu’on arrive au dessus du bleu.

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Et voilà!

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Alors qu’est ce que tu en penses?

En tous cas Bébou, elle, adore!

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Le monde merveilleux de l’internet…

Chose promise chose due, je vais aujourd’hui te parler de la blogosphère et ça va saigner j’te jure ! Nan j’rigole je suis non violente, enfin j’espère…

Bon, pour commencer il faut remettre les choses dans leur contexte. Quand j’ai commencé à tenir ce blog je ne connaissais à peu près rien à la blogosphère (bon, ok… j’y connaissais vraiment rien !). Et, vois-tu, dans la vie je suis une grande grosse naïve ! En fait je suis pragmatique… mais naïve. Ce qui donne un truc du genre : « Ouii, Je sais que le monde n’est pas parfait mais j’espèèère ! » le tout déblatéré niaisement avec des yeux comme des soucoupes  remplis de cœurs et de paillettes ! Gniii !

Tu t’imagines donc, qu’avec un caractère de débilette comme celui là j’ai vécu quelques désillusions au cours de petit mon parcours bloguesque. Je m’en vais donc te prévenir, si toi aussi, jeune Padawan, tu souhaites te lancer dans l’aventure du blog, tout n’est pas rose (mais un peu quand même, enfin, on verra ça plus tard).

Quand tu débutes un blog tu apprends vite qu’il y a des passages obligés si tu souhaites avoir un petit peu de visibilité. Le premier de ces passages c’est Hellocoton … Quoi ?! t’as pas hellocoton ! Mais vas-y abonne-toi (c’est par là !). Disons qu’Hellocoton c’est un peu ton baptême du feu de bloggeuse. Moi, c’est là que je l’ai rencontrée ma première morue des réseaux sociaux j’ai nommé :

 L’aguicheuse d’hellocoton

Sache que L’aguicheuse sera toujours la première à te parler sur Hellocoton. T’es pas abonnée depuis vingt minutes que déjà elle est ton amie. Elle t’envoie un adorable message de bienvenu,  genre : (attention les messages suivant sont véridiques !)

« Coucou Mathilde! Je te souhaite la bienvenue sur Hellocoton
J’espère que tu te plairas dans cette chouette communauté, en tout cas je n’en doute pas 🙂 Je me suis inscrite il y a quelques mois et je suis accro!
J’ai hâte de pouvoir découvrir ton univers. Surtout n’hésite pas à faire un tour sur mon blog si ça te tente : tu y seras la bienvenue

Bisous
♡ »

Ou encore :

« Hey, Welcome Mathilde ! 😀

Une petite nouvelle sur la toile Hellocoton, je ne peux que te souhaiter de devenir autant mordue que nous toutes de l’esprit “blogosphère”.
Si toutefois tu avais des questions, n’hésite pas à me demander. L’entraide avant tout !

Au plaisir de te lire ! 😉 »

Alors là ton petit cœur de bloggeuse s’enflamme tu n’es qu’amour et optimisme ! Mais c’est Géniiiale ! Tu t’en vas de ce pas leur montrer que, toi aussi, tu veux bien être leur amie ! Alors tu réponds à leurs messages, tu t’abonnes à leurs comptes, bah oui on est copines, tu te souviens ?! Bah elle non, apparemment ! Parce que le lendemain elle s’est désabonnée, tu n’existes plus. Adios la copine qui prônait « l’entraide avant tout ». Tu t’es bien fais baiso (comme dit Chéri-chéri).

Quand tu veux être une vrai bloggeuse-de-la-mort-qui-tue il te faut aussi avoir un compte Face de bouc avec une FanPage. Ca sert à quoi la fanpage… Bah à pas grand-chose. Le but du jeu est de gagner des likes (ou d’en acheter si t’as les moyens et que t’as que ça à faire). Pourquoi ? Bah il paraît que ça plaît aux marques partenaires… Yep. La deuxième morue à laquelle j’ai été confrontée a donc été :

La traideuse de like Facebook

Celle qui vient te voir genre habituée de la blogo et qui te dit d’une voix de rockeuse éraillée (sisi chez moi les messages parlent^^) : « L’Internet est une biatch, meuf ! Jouons franc jeu :  J’te like tu m’likes. Ok ? ». Toi tu t’es déjà faite avoir par l’aguicheuse alors tu te dis que là, au moins, ça a le mérite d’être clair. Un donnant-donnant au bénéfice de tous. Tu lui réponds gentiment que t’es ok, que c’est fait. Que t’as liké. Ok… T’es pas une grande fan des bijoux en pâtes fimo mais bon… C’est le jeu ma pauv’ Lucette ! Et bin, v’la t’y pas que la garce elle te like pas en retour ! Nan mais ! C’est pas des manières ça madame ! On avait un deal ! Du coup tu t’en vas dé-liker direct ses bijoux en pâte fimo de merde ! Justice sera faite, je vous le dis ! Ah… Bah non… T’as pas trouvé comment on fait ! Quichonne va !

Sur Facebook, à force d’accepter n’importe qui pour être ton ami (on a bien compris qu’il ne s’agissait pas vraiment d’amitié mais plus de publicité finalement). Tu te retrouve avec des personnes très bizarres qui s’expriment sur ton fil d’actu, genre :

L’enigmatique des statuts

Celle qui parle toujours de « certaines personnes ». Genre : « J’en ai trop marre du comportement de certaines personnes ! ». Perso j’ai beau ne pas connaître cette fille, je me sens toujours visée (c’est bête non ?).

La VRP stalkeuse

La meuf elle veut tellement te vendre son produit « Younique » ou « It work » qu’elle te tag sans arrêt sur des photos (sur lesquelles tu n’apparais pas bien entendu !) et quand c’est pour un produit anticellulite, croyez-moi c’est vexant ! Elle t’inclue d’office dans des groupes alors que t’as rien demandé, elle te pourri ton mur de message, elle te poursuis dans tout FB… Y a rien à faire. T’en vire une il en revient dix. Arf ! Je suis à bout !

Et, bien entendu :

La droguée aux citations

Mais là je laisse le mot de la fin à Frau Pruno. C’est à mourir de rie !

Je ne m’attarderai pas non plus ici sur ceux qui balance des réflexions racistes à tout va. Je vire direct ! Faut pas jouer avec moi !

Par la suite, si tu es vraiment une bloggeuse accomplie tu te branche sur instagram (« insta » pour les intimes) et là tu découvres deux spécimens :

La likeuse compulsive

La meuf (ou le mec d’ailleurs, hein… La fourberie n’a pas de genre) elle (ou il, donc) te like 15 photos d’affilé ! Waouu quelqu’un aime ce que tu fais. Genre vraiment quoi ! Vu qu’il vient de liker la moitié de tes photos. Ni une ni deux, tu t’en va yeuter son compte. Et là y a comme un problème… Vous n’avez pas mais alors PAS du tout les mêmes centres d’intérêt…. J’veux dire la meuf est américaine, elle ne poste que des photos d’elle bodybuildée en string sur une plage de Miami et là elle vient de mettre un cœur sur toutes les photos de tes vacances à trifouilli-les-oies… Ok même moi qui suis une cruchonne je sens le coup venir : Y a anarque. C’est comme ça que j’ai découvert une technique d’approche cheloue destinée à appâter les gogoles du net comme bibi. Naïve j’vous dis !

La psychotique du like

Alors elle (désolée moi j’ai beaucoup de « elle » sur instagram), elle a un gros problème d’indécision. C’est-à-dire qu’elle n’a pas l’aire de savoir si elle t’aime ou pas. En gros elle t’aime, elle t’aime plus. A si en faite elle t’aime, ah… non, elle t’aime plus. Du coup, au début, tu piges plus rien… Jusqu’à ce que tu tiltes (enfin !) que c’est également une technique d’approche… Rusée la bestiole !

Bon… Pourquoi je te parle de tout ça aujourd’hui. Ce n’est pas pour déverser ma colère ou ma déception, non. C’est plus pour dénoncer un système un peu pervers qui fait qu’à la fin, tu te rends compte que toi-même tu es entrain de te transformer en une morue des réseaux sociaux. En fait je pense sincèrement que la fille d’en face, derrière son écran, elle ne se rend pas bien compte qu’elle entretient des pratiques peu reluisantes. En plus, des filles géniales, j’en ai rencontrée plein (plus que je ne l’aurais pensé même) alors… Arf… Ca y est je suis repartie en mode licorne qui chie des paillettes. Zut !

Bon, et toi t’en a connu des filles comme ça ? T’as détecté d’autres comportements déviants ? Allez… Raconte-moi tout !

Mon salon

Ahh… Comme on est bien chez moi!

Là je dois t’avouer, petit internet, que je kiffe grave, posée toute seule dans mon salon pendant que Bébou fait la sieste. Comprend-moi bien : J’adore recevoir du monde chez moi. J’aime mettre les petit plats dans les grands et faire en sorte que les gens se sentent à leur aise. Mais parfois j’aime me retrouver seule, m’affaler dans mon canapé moelleux et geeker à l’aise. C’est ce que je faisais il n’y a pas 5 minutes quand j’ai été prise d’une envie pressente : te faire faire le tour de mon salon.

Ni une ni deux, j’ai pris mon appareil photo et voilà. Voici mon chez-moi :

la déco de mon salon par Je ne suis pas une poule avant / après

Tu aimes? … Non?! Ca c’était mon chez-moi il y a 2 ans maintenant, au moment où on l’a acheté. Ensuite on a bossé comme des dingos ma famille d’amour et moi. On a cassé 3 cloisons pour ouvrir les deux petites pièces sur le couloir, on a poncé, dépapiété, rebouché, peint et voilààà!

Bon… tout n’est pas encore fini. Il manque les plinthes, on a pas encore assez de meubles (du coup on a mis des cagettes en attendant) y a plein de trucs qu’on a dû faire différemment faute de moyen, mais un jour… Quand on sera riche….

Bon allez j’te montre :

Ca c’est mon salon vue de ma cuisine. La table a été récupérée dans la maison. Ils allaient la mettre à la benne, et moi, tu sais, j’ai un peu le syndrome de Diogène, j’aime pas jeter! Du coup on l’a décapée, repeinte, et voilà!

Pour les chaises c’est pareil. Ils allaient les balancer dans mon ancien bahut alors j’en ai récupérée quelques unes sur les centaines qui partaient à la poubelle (à l’époque je n’avais pas la place de stocker… dommage, hein!)

la déco de mon salon par Je ne suis pas une poule

Voilà la partie “salon” avec mon canapé d’amour (cuir center)… Ok, il m’a coûté un œil mais, depuis 7 ans que je l’ai, il n’a pas bougé d’un iota! La table basse vient de chez “maison du monde” collection-d’il-y-a-longtemps.

Au milieu du salon trône le conduit de cheminée de la chaudière. Mon rêve serait de le transformer en poêle à bois… Un jour peut être… Quand on aura gagné au loto!

la déco de mon salon par Je ne suis pas une poule

C’est une pièce très lumineuse mais pas forcément facile à meubler parce qu’il y a des fenêtres partout (dû au fait qu’on a pété toutes les cloisons aussi…)

la déco de mon salon par Je ne suis pas une poule

Les cadres viennent d’Emmaüs. Au centre c’est une “oeuvre” de moi-même (comment je me la pète!) réalisée à l’atelier de gravure et de typographie de Conflans (cet endroit est ma-gi-que!). Les petits cadres carrés contiennent chacun quatre sous-bocs à bière chinés à la grande braderie de Lille, souvenir de notre vie dans le Nord. Pour le reste il y a un emballage de chicoré un peu art déco que j’adore (encore chiné dans le ch’nord) et des impressions de visuels que j’aime bien.

la déco de mon salon par Je ne suis pas une poule

Au fond du salon on a aménagé un petit coin pour Bébou, pour qu’elle ne nous mette pas des jouets de partout (ce qu’elle fait quand même je te rassure…). Mais au moins elle a son petit espace rien qu’à elle avec des rangements pour ses jeux (Chéri-chéri s’est donné comme mission de la rendre moins bordélique que sa mère^^)

la déco de mon salon par Je ne suis pas une poule

On aperçoit aussi, dans le coin, le fatboy (payé moitié prix après un événement Ankama, quand je bossais chez eux) idéal pour lire des histoires affalés comme des patates!

la déco de mon salon par Je ne suis pas une poule

Ici c’est une lampe “fait maison” (DIY si tu préfères) en cerisier débité grossièrement en pavé (à la tronçonneuse! Yeah baby!… hum c’est Chéri-chéri qui fait ça, hein… pas moi…) avec une ampoule à filaments et une carcasse d’abat-jour.

Le terrarium, quand à lui, a été chiné à la brocante du quartier pour 3 euros (autant te dire que quand la petite mamie m’a dit le prix j’ai failli pleurer!)

la déco de mon salon par Je ne suis pas une poule

Les deux petits crânes ont été ramené de balade par Chéri-chéri. Ouai c’est le seul mec qui par à la pêche et revient avec des crânes (et sans poissons!). Ils iront bientôt rejoindre nos toilettes qui sont en cours d’aménagement en ….. “cabinets de curiosité”!! Si tu as pigés le jeu de mots : bienvenue! Sinon… euh…. Zut, faut que j’explique. Des toilettes = des cabinets, ok? Ca y est tu vois le rapport cabinets = cabinet de curiosités? Ouf!

la déco de mon salon par Je ne suis pas une poule

Ici un meuble indus’ en bois peint dans son jus dégoté dans ma ville natale pour 35 euros! La plante dessus est dans un chaudron trouvé dans le grenier de la maison (elle était décidément pleine de trésors cette maison!). Les z’animaux ont été achetés pour 1 euro en braderie et bombés en cuivré. C’est ma petite jungle.

la déco de mon salon par Je ne suis pas une poule

Une jolie affiche d’école expliquant le moteur à 4 temps. On l’avait acheté pour faire un cadeau à des amis, au départ, et puis finalement on a pas pu se résoudre à s’en séparer…

la déco de mon salon par Je ne suis pas une poule

Sur la petite table d’entrée (ancienne table d’école trouvée dans les poubelles et retapée) trône une vitrine en verre récupérée chez ma Mamy. Personne n’en voulait parce qu’elle avait une immonde moquette verte dans le fond, mais une fois nettoyée et repeinte elle est top. Reste plus qu’à l’accrocher… Un jour… Peut être…

la déco de mon salon par Je ne suis pas une poule

Quand on a acheté la maison il y avait des tonnes de cageots à pommes au grenier. On avait pas de meuble, du coup on les a nettoyés et empilés pour pouvoir mettre quelques plantes et mes assiettes ramenées de Tunisie à 18 ans (oui… à 18 ans la meuf elle a que ça à faire de ramener des assiettes de voyage… oui!)

la déco de mon salon par Je ne suis pas une poule

Nos plantes “survivor” dont une dotée d’un magnifique pot “Get up / Stand up!” sur une balance chinée pour 3 euros et décapée à la sueur de mes mains dans la baignoire de notre ancienne salle de bain!

la déco de mon salon par Je ne suis pas une poule

Le support pour cloches est une création originale de Chéri-chéri. Ce mec là a de l’or dans les mains (je l’aime!)

la déco de mon salon par Je ne suis pas une poule

Voilà! Tu as fait le tour de mon petit salon! Alors tu aimes? Et toi, tu me montres le tiens? (vas-y fait péter les liens! J’adore visiter des maisons!)

 

Coucou me revoiloù!

Bonjour mon petit internet! Je suis de retouuur!

Pas que je sois partie, pas vraiment, non. J’étais juste complètement dans le jus. Je te retrouve donc aujourd’hui complètement à l’ouest, décalquée, explosée, ramassée… J’en passe et des meilleurs.

Que s’est il passé, me demanderas-tu (si si tu le demandes, c’est comme ça, c’est moi qui décide, c’est mon blog! Nan mais!)

Il s’est passé :

  • 3 semaines de vie de mère au foyer (merci la crèche!) avec moult activités à inventer pour occuper Bébou (c’est un métier ma brave dame!)
  • 1 constat : Je ne suis pas faite pour cette vie. J’aime la crèche et j’aime travailler! <3
  • 2 mariages endiablés
  • Ce qui donne deux nuits blanches à danser (j’adooore danser!)
  • 1 foie en vrac (j’adooore le champagne!)
  • 12 membres de la famille et 8 amis sont venu nous voir… Et auant te dire que tout ce petit monde adooore les Mojitos, le rosé et la bonne bouffe (mon foie me supplie de l’achever!)
  • Résultat : des valises sous les yeux, du gras sur les fesses et un énorme besoin de siestes (merci les gars! c’était trop cool!)
  • 1 blog à l’abandon (et 257 articles de blogs à lire en rentrant… Désolée les copines je ne les lirais pas. J’ai pas la foi (encore moins le foie!)

Alors voilà j’ai carrément profité de mes vacances! c’était cool, intense, joyeux et court! J’ai kiffé mais là il faut que je me rende à l’évidence. La rentrée est presque là et il faut que je me mette à travailler sérieusement. Et oui une rentrée ça se prépare! (spéciale kassedédit à ma cop’s escarpins & marmelade pour son article sur les profs).

Allez je te balance quand même des petites photos de mes vacances (comme ça si t’as pas insagram tu peux toujours te rattraper!)

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Allez! Gros Bécos! et à très vite pour un article saignant sur la blogosphère!