All posts by Cocotte Jolie

Prendre soin de soi avec Couleur Caramel

Comme je te le disais dernièrement, j’ai décidé de penser un peu plus à moi. D’autant qu’avec cette grossesse qui me laisse fatiguée comme jamais, j’ai bien besoin de me cocooner, de m’occuper de ma petite personne. Bref, de tout faire pour me sentir bien.

Pour moi, ça commence avec le fait de m’apprêter pour me sentir jolie. Quand je me sens jolie, je me sens forte et quand je me sens forte je peux tout faire (ou presque… Me demandez pas de passer l’aspirateur, je suis allergique!).

Comme j’ai toujours une peau très fragile, j’ai choisi d’utiliser des cosmétiques avec une composition clean afin d’éviter de nous mettre (petit-flocon et moi) en contact avec des produits plus que douteux.

En mai dernier j’avais eu la chance de pouvoir tester la marque de maquillage bio et naturelle Couleur Caramel.

Petit retour sur 6 mois d’utilisations :

Je suis toujours aussi conquise par la palette “nude” et ses ombres à paupières canons que j’utilise tous les jours (enfin… Tous les jours où je me maquille). J’ai presque fini le mascara. Durant l’été j’ai un peu regretté le fait qu’il ne soit absolument pas waterproof, mais vu que mes cils ont poussés et se sont étoffés (si si c’est vrai), je lui pardonne. Le crayon à sourcil semble inusable et est toujours aussi parfait et adapté au brun de mes sourcils.

Du coup, après un bilan aussi positif, c’est tout naturellement que je me suis tournée, de nouveau, vers Couleur Caramel pour compléter ma collection de maquillage bio, éthique et naturel.

Cette fois-ci je me suis occupée de mon teint (est-ce pour camoufler mes cernes de 3km de long? Je ne saurais dire). J’ai donc craqué sur :

Une bb crème bio (teinte beige clair), un fard à joue bio mat (teinte pêche), des perles sublimatrices arc-en-ciel et un rouge à lèvre glossy (teinte bois de rose).

Le tout bio, naturel et vegan. Le top, quoi!

couleur caramel maquillage bio

Comme je m’y attendais, j’ai été ravie!

La bb crème est parfaite. La couleur est exactement celle de ma peau et, appliquée au “beauty blender” (tu trouves pas qu’on dirait une vraie blogueuse mode quand j’utilise des mots savants comme “beauty blender”?) le fini est quasi invisible et très naturel.

Le fard à joue doit être utilisé avec parcimonie car il est très pigmenté et qu’il est facile d’avoir la main un peu lourde. Mais la couleur est très chouette et donne du peps au visage. En revanche j’ai un peu plus de réserves en ce qui concerne son packaging. Autant je suis fan du côté “carton” de tous les autres produits, autant celui-ci me semble assez fragile. Il s’est d’ailleurs cassé au moment du transport (et ce malgré le soin apporté à celui-ci). J’avoue avoir donc un peu peur de le mettre, un jour, dans ma trousse de toilette et de le retrouver en miette au moment de sortir ma brosse à dent.

couleur caramel maquillage bio

Pour ce qui est des perles sublimatrices elles laissent un nacré très discret sur la peau. Si vous aimez l’effet disco-boule-à-facette passez votre chemin. Je l’applique sur les pommettes, le haut des paupières et le nez et les perles créent juste un délicat effet de lumière. J’aime beaucoup.

Le rouge à lèvre est très agréable car ça texture est légère et ne colle pas. On a pas l’impression de “porter” un rouge à lèvre. Pour moi qui suis une grande angoissée du gloss-glue et du rouge à lèvre trace-à-dents il est parfait et la couleur est intense sans être trop voyante. C’est idéal pour moi.

Allez… Si vous voulez voir ce que ça donne en vrai : Tadaaam! Voilà! (je vous fait grâce des 57 autres photos toutes floues… Les selfies et moi c’est pas encore ça….^^)

couleur caramel maquillage bio

Encore merci à Couleur Caramel de m’avoir permis de renouveler l’expérience

Enfin 3 mois et la certitude…

Dès lors qu’on a eu des soucis de conceptions, que ce soit en passant par la PMA ou non, il est difficile de se réjouir complètement les premiers mois.

On a beau savoir que l’on est enceinte, en ressentir tous les symptômes, avoir envie d’y croire, une partie de nous reste toujours septique.

On passe donc les trois premier mois les fesses serrées et les doigts croisés (et je t’assure que ce n’est pas une position des plus agréable), en ce disant : “pourvu que je ne fasse pas de fausse couche”, “pourvu que le bébé soit normal”, etc.

Puis arrive enfin le troisième mois tant attendu… Tout semble en ordre, on prends rendez-vous pour la fameuse “première” écho ( parce que celle d’avant, réservée aux PMettes et compagnie, compte pour du beurre).

On s’y rend la peur au ventre. Et si le bébé n’était pas “normal”…. Pour être honnête, ça a toujours été ma plus grande angoisse. J’ai le plus grand respect pour les hommes et les femmes qui choisissent d’élever un enfant différent, mais Chéri-chéri et moi, on ne s’en sent pas capable. Nous en avons discuté, longuement, et nous savons qu’elle serait la difficile décision que nous prendrions, si le cas se présentait.

Je sais qu’une telle décision ne nous laisserai pas indemne. Faire tout ce cheminement pour avoir des enfants et abandonner comme cela, tout ça pour un petit bout de chromosome en plus. C’est injuste, peut être… Et, après tout, qui sommes nous pour décider de qui doit vivre ou non?

Oui, mais c’est notre vie à nous aussi, l’équilibre de notre famille, notre couple qui est en jeu. Et nous avons le droit de ne pas nous sentir capable de porter ce poids sur nos épaules. Nous avons le droit de choisir, quitte à vivre avec une sourde culpabilité à nous partager pour le restant de nos vie.

Alors hier, en me dirigeant vers le cabinet d’échographie, c’est à tout ça que je pensais. Je me suis allongée sur la table d’auscultation. J’ai frissonné au contact du gel sur ma peau. J’ai senti la sonde appuyer sur mon ventre, et les images sont apparues à l’écran. Immédiatement je l’ai vu. Il a fait un petit bond et est venu se reloger tout au fond de moi. Il était là, plein de vie. Et j’ai su qu’il allait bien. En apercevant son profil bien dessiné et sa nuque fine j’ai su qu’il serait le plus beau des bébés (ex-æquo avec sa sœur, bien sûr^^).

J’ai pleuré ( hum… J’vous ai déjà dit que j’étais fatiguée…)

Je l’ai observé sous toutes les coutures. Il faut dire qu’il s’est laissé faire de bonne grâce. Petit-flocon a donc bien deux jambes et deux bras avec les bourgeons de tous ces doigts et orteils, un petit cœur qui bat et un cerveau comme une petite noix…

Et, après une étude poussée de son anatomie, il semblerait bien que Petit-flocon soit, un réalité, une petite-floconne (bon… Va falloir trouver un autre nom!). Bien entendu il faudra attendre l’écho de février pour en être sûr, mais nous sommes très heureux!

petit-flocon

 

Concours une Lottie pour Noël

Je vous l’avez promis, le voilà! Le concours pour gagner la Poupée Lottie de votre choix et la recevoir juste à temps pour la glisser au pied du sapin.

Je devais le faire la semaine passée mais une grosse flemme fatigue m’en a empêché.

Je ne reviens pas sur la qualité de ces petites poupées trop mignonne ( j’en avais déjà parlé ici).

img_2163

Alors c’est très simple, pour jouer il vous suffit de me dire laquelle de ces poupées vous aimeriez avoir et pour qui (ça c’est juste parce que je suis super curieuse!^^). Si vous voulez une chance supplémentaire n’hésitez pas à aller liker ma page et celle de Lottie.

Poupées lottie

Vous avez jusqu’à vendredi soir pour participer, Bonne chance!

2 mois de fatigue

Voilà tout est dit.

Je rentre dans mon deuxième (à non… troisième^^) mois de grossesse et je suis fatiguéee…

Tu vois le genre?

Je n’avais pas vécu ça pour Bébou. En même temps faut dire que c’était l’été, j’étais en vacances et j’en fichais pas une. Dans ces conditions, forcément je n’étais pas trop fatiguée…

Mais là avec le boulot, ma fille (ah ooui c’est vrai j’avais pas d’enfant la première fois, génie de la déduction quand tu nous tiens!), les travaux de la maison et la gestion du quotidien, je suis plus-que-fatiguée. Je crois que je pourrais dormir mille ans. En mode belle-au-bois-dormant mais sans le baiser du prince aux perversions cheloues. [T’as déjà remarqué que les princes des contes c’était tous un peu des violeurs? A embrasser des filles sans défenses sans leur consentement quand elles dorment (et encore je te parle pas de celui qui embrasse une fille qu’il croit décédée: Paye ton halène de mort!).]

Bref. Tout ça pour dire que je suis HS.

Si je m’écoutais j’arrêterai même de bosser, tiens! Faut dire que c’est un peu la misère au boulot et que l’ambiance avec la direction a tendance à me démotiver sévère. Mais bon, soyons honnête s’arrêter à même pas 3 mois de grossesse c’est peut-être un brin too much.

Arf… Comme ils sont longs ces premiers mois! Je lis de partout que la deuxième grossesse on en profite plus, qu’on savoure… Bah moi je voudrais déjà que ce soit fini que le bébé ait 6 mois et puis c’est tout! #Teamimpatiente

Je me demande sérieusement comment je vais tenir 6 mois supplémentaires à ce rythme. Oui, ouii… Je sais, qu’après on a un regain d’énergie… Enfin, j’espère! Parce qu’à ce train là je vais finir par ressembler à une vieille serpillière trop essorée.

Bon voilà c’était mon article geignarde du soir… Il est 21h je m’en vais dormir comme une mamie (encore que la mienne de 91 ans me semble bien plus vaillante…).

Rassure-moi, dis-moi que je ne suis pas la seule dans ce cas, et que celui-ci n’est pas aussi désespéré que ça.

Bon allez… On mets un coup d’anti-cernes, on sourit et c’est reparti mon kiki!

2 mois de fatigue

idées cadeaux pour z’hommes (concours inside)

Coucou petit internet!

Aujourd’hui je te parle d’un lieu de totale perdition, j’ai nommé : MasterWork.

J’ai découvert ce site un peu par hasard, et le moins que l’on puisse dire c’est que je suis devenue une inconditionnelle!

En fait MasterWork c’est une sélection canon d’objets chics et intemporels. Ici on est loin des gadgets en plastiques qui seront démodés d’ici un an ou deux. Non. Chez MasterWork on trouve des objets d’une superbe qualité dans une ambiance de boudoir masculin qui fleure bon le cuir et le bois ciré.

J’adore!

Quand je m’y balade j’ai envie de tout acheter! Nan mais vraiment tout! Et le meilleur dans tout ça c’est que je sais que chacun des objets sélectionnés par Alexis (le jeune entrepreneur derrière le concept MasterWork) ferait mouche avec Chéri-chéri, ses frères, mes beaux-frères ou moi-même (on peut s’auto-offrir des cadeaux à Noël?).

Bref, quand on voit à quel point il est parfois difficile de trouver une idée de cadeau originale pour homme, il fallait que je te partage ma sélection de Noël pour toute la famille :

Pour que Chéri-chéri prenne soin de lui :

selection master work rasage traditionnel1. Blaireau Plisson (France) 2. Rasoir de sureté Merkur (Allemagne) 3. Lames Mühle pour rasoir de sécurité (Allemagne) 4. Kit de test produits de rasage Prospector Co (USA) 5. Serviettes de rasage Mühle en coton gaufré (Allemagne) 6. Savon à barbe Plisson (UK)

Pour un amateur de bière (comme Beau-frère n°1) :

selection master work bière

1. Décapsuleur Hermetus (Allemagne) 2. Petites chopes à bière en cuivre (Japon) 3. livret de déhustation de bière (USA) Le tout avec quelques bonnes bières chopées ici

Pour un fan de Poker avec les copains (comme Beau-frère n°2) :

selection master work whiskey et poker

1. Jeu de cartes Monarchs (USA) 2. Flasque en étain carrée (UK) 3. Carnet de dégustation de Whiskey (USA)

Pour un bosseur stylé ( comme Beau-frère n°3) :

selection master work pour le bureau

1. Crayons Palomino Blackwing noirs (Japon) 2. Taille crayon Dux en laiton (Allemagne) 3. Carnet en cuir recyclé (Japon) 4. Plumier en laiton massif Midori (Japon)

Et enfin pour un bricoleur hors-pair (comme Beau-frère n°4) :

selection master work pour le bricolage

1. Couteau Higonokami (Japon) 2. Fausse équerre de menuisier (UK) 3. Stylo pied à coulisse (Allemagne) 4. Petits ciseaux en kevlar (UK)

Concours :

Et comme Alexis (et moi?) on est sympa (mais genre vraiment sympa!) on te propose de gagner 80€ en bon d’achat à valoir sur le site.

Pour participer rien de plus simple :

Il te suffit de liker la page facebook de Master Work, la mienne (pas la peine de me mettre les liens je vous fais confiance!^^) et de me dire en commentaire quel article du site vous aimeriez offrir et à qui (ça c’est juste parce que je suis curieuse!^^)

Voilà! Bonne chance!

A oui et ce concours ce termine dans une semaine et est réservé à la France métropolitaine. Voilà!

 

De l’éloge de l’égoïsme

Quand on est une femme, et peut être encore plus quand on est maman, on est habituée à penser aux autres en premier.

Je ne sais pas d’où ça nous vient. De l’éducation probablement (tu sais le fameux “sois gentille” pour les filles versus “sois fort” soit fort pour les gars).

Toujours est-il que, prise entre le boulot, les tâches quotidiennes et les enfants, on a bien souvent tendance à s’oublier. Et ce, même si on a un Chéri-chéri qui participe. En tous cas moi ça m’arrive tout le temps.

Résultat je me retrouve bien souvent dans un état esthétique déplorable : en mode cheveux gras, pas épilé, des fringues informes enfilées à la va-vite et des cernes de trois-pieds-de-long même pas camouflées.

Bref, pas glamour la meuf!

Pourtant j’aime être jolie et je sais que ça ne me prendrais pas quinze ans de me mettre un coup de peigne et un peu de blush… Alors pourquoi on ne le fais pas?

Et bien j’ai la réponse! Tadaam! euréka! J’ai trouvé!

C’est tout bête. On ne le fait pas parce que ce n’est pas notre PRIORITÉ. On peut se dire que c’est louable de n’être pas obnubilé par son look. Oui, mais là n’est pas le problème.

Le problème c’est que NOUS NE SOMMES PAS NOTRE PRIORITÉ. On choisi bien trop souvent de faire passer n’importe quoi (les courses, le linge à plier, etc.) avant nous même.

Et ça c’est pas bien… Non, non, non. C’est pas bien! Et là je me parle à moi-même :

Il faut redevenir un peu égoïste.

Oui mais c’est quoi l’égoïsme? Et là je cite Wikipédia (tout le monde sait que c’est une source sûre…) :

L’égoïsme est un tempérament qui consiste à avoir tendance à privilégier son intérêt propre aux dépens de celui du reste du monde en général, ou d’autrui en particulier.

Mais en faite, qu’y a t’il de mal à se mettre au centre de son propre monde? De choisir ce que l’on fait en fonction de soi, de ses besoins, de ce que réclame son corps?

Bah rien! Voilà. C’est moi qui vous le dit ( #faitescequejedispascequejefais).

Il est urgent de se prendre en compte en tant que personne! Tout simplement pour se sentir bien. Oui, parce que si on est bien avec soi, on est mieux avec les autres. Voilà! C’est ça ! Finalement être un peu égoïste, ça fait du bien à tout le monde!

Donc faut penser à soi pour penser aux autres. Tu suis le raisonnement? Non? C’est normal je crois que je m’égare…^^

Tout ça pour dire qu’on devrait plus s’écouter, penser un peu plus à sa petite personne et  se faire plaisir de temps en temps.

Et toi qu’en penses-tu? égoïste or not égoïste?

Une poupée Lottie pour Noël

Vous ne le savez probablement pas, mais j’-dooor-re Noël. En faite, plus que le jour en lui-même, ce sont les semaines d’avant que je préfère. La décoration du sapin, la préparation des mets les plus exquis, rechercher le cadeau parfait, le trouver et l’emballer avec soin. Voilà ce qui me fait vibrer.

Ouuuh! Je suis toute excité! J’adore cette période de l’année! C’est magique!

Et cette année, comme je suis quelqu’un de sympa, j’ai décidé de partager avec toi mes idées cadeaux. Ce sera notre petit rendez-vous du jeudi… Et en plus, promis, il y aura des surprises à gagner!

Allez, on commence ce “jeudi de l’avant” avec une idée de cadeau pour ma petite Bébou d’amour.

Voici une petite fille qui a développé une véritable passion pour les poupées figurines, surtout depuis que ma mère a ressorti mes vieilles Barbies du grenier. Elle leur invente tout un tas d’histoires incompréhensibles et je me suis surprise à me dire que, finalement, c’était un bon moyen de développer son langage et sa créativité…

… Oui mais… C’est sans compter sur le côté (pardonnez-moi l’expression) “poupouffe” de la chose. Parce que, franchement, mes vielles Barbies années 80-90, elles étaient pas du genre frileuses! Hum… C’est le moins qu’on puisse dire! En faite leurs jupes se résument à des ceintures à paillettes et leurs tops… euh… Bah pareil! Et encore elles sont presque softs mes Barbies eighties comparées aux Bratz et autres Monstre High (mon dieu quelle horreur!)

Est-ce vraiment l’image de la femme que je veux donner à ma fille? Celle d’une Bimbo gonflée au silicone qui passe sont temps à faire du shopping?

Pas vraiment, non.

Du coup j’ai fait des petites recherches et je suis tombée sur la poupée Lottie.

poupées lotties par "je ne suis pas une Poule"

Ahhh la poupée Lottie! Autant te dire que j’ai été conquise! Enfin une fille qui ressemble à une enfant, tiens debout toute seule, et fait de véritables activités!

Oui, chez Lottie la poupée n’est pas mannequin, elle est reine pirate, karatéka, chasseuse de papillon, bricoleuse ou exploratrice. Bref, c’est tout sauf une potiche!

poupées lotties

Ahh ça, ça me plaît! Une poupée “Girl power” adaptée à ma fille et à son âge. De quoi éviter de la faire complexer sur ses fesses avant d’avoir atteint ses 8 ans.

Alors voilà : « Lottie a les proportions moyennes d’une enfant de 9 ans. Elle ne porte pas de maquillage, de bijoux ou de talons hauts et elle peut se tenir debout sur ses deux pieds. Elle porte du velours, du feutre et des collants à rayures – comme une vraie petite fille »

CQFD!

Moi j’adore! Et, si toi aussi ça te plait je te réserve une surprise pour bientôt….^^

poupée lottie par "je ne suis pas une Poule" poupées lotties par "je ne suis pas une Poule" poupée lottie par "je ne suis pas une Poule" poupée lottie par "je ne suis pas une Poule" poupée lottie par "je ne suis pas une Poule" emballage poupée lottie muddy puddle emballage poupée lottie butterfly

Merci à la marque de m’avoir offert ses deux poupées qui feront le bonheur de ma Poupette lorsqu’elle les découvrira dans ses souliers.

Petit précis d’éducation

Quand on est parent il y a des jours avec et des jours sans (j’en avais déjà parlé ici). C’est comme ça l’éducation, c’est fluctuant. Mais là, ce week-end, il faut que je te dise :

Ma Bébou a été au top, magistrale, merveilleuse, impeccable. D’une sagesse à faire pâlir d’envie les autres parents. Et là tu te dis : “Mais comment fait-elle pour avoir une fille aussi adorable?”

Hum… Bon… avant de commencer je tiens à préciser que ma fille est loin d’être comme ça tout le temps, hein, soyons clair…^^ Mais, franchement enchaîner trois jours d’affilée en mode petit ange méritait bien que je me transforme pédo-psycho-thérapeute-de-l’éducation-qui-déchire-son-comptoir!

Me voilà donc, pour l’occasion, transformée en “Dolto-des-gallinacées” et je m’en vais de ce pas te filer mes “trucs” sans failles pour une éducation réussie (garantie au moins trois jours d’affilée dans l’année)

1. Etre raccord

… même en cas de désaccord. Voilà le secret. Chéri-chéri et moi on ne se contredit jamais. C’est le premier qui parle qui a raison. C’est une règle de base : “papa et maman seront toujours d’accord. Sauf pour la boîte de nuit, demande à Maman!”.

Il ne faut pas croire qu’on est toujours d’accord… Non, non… Parfois je dis OUI alors qu’il aurait dit NON, parfois c’est lui qui dit OUI alors que j’aurais dit NON et parfois on ne réagit, tout simplement pas comme l’autre l’aurait fait. C’est pas grave. On se range de l’avis du premier. Puis on en rediscute plus tard, à têtes reposées loin de ses petites oreilles indiscrètes.

L’éducation est un champs de bataille, il faut faire front, dirait mon grand-père. Et comme dans toutes les guerres il faut savoir :

2. Tenir Bon

Si on a dit Non, c’est NON. Ca a l’air facile comme ça… Mais ça l’ai pas. Surtout si il y a une adorable petite fontaine de pleures (ou une furie hors de contrôle) en face de nous. Des fois, on a envie de craquer, de dire :” alleeer, juste pour cette fois, d’accord?!” Bah non.

C’est presque inhumain mais c’est comme ça.

Ce qui m’amène à mon troisième point :

3. Passer le relais

Quand c’est trop dur… Faut savoir refiler le bébé. On est deux, c’est fait pour ça. Sinon il reste sûrement, une grand-mère attentionnée, une tata qui n’attend que ça, un voisin, un chenil?

Il faut s’avoir dé-lé-guer… Et là non plus c’est pas toujours facile. Mais c’est important de savoir se préserver pour ne pas rentrer dans une spirale de laquelle il est dur de sortir.

4. Expliquer

Expliquer, expliquer. On explique jamais trop!

Même les ratés on les explique. On est humain après tout. “Bah, oui, J’ai crié un peu fort, mais, vois-tu Poussin, je suis fatiguée, je rentre du travail, et je dois te dire pour la vingt millième fois de ne pas sauter sur le canapé parce que c’est dangereux et que tu risques de tomber, tu comprends?” Bien sûr expliquer suffit rarement, d’autant que les z’enfants ne pigent pas toujours bien le concept de “danger”…  Il faut donc :

5. Avertir avant de sévir

Nul n’est sensé ignorer la loi, qu’on dit.

Alors on édicte les lois, exemple : “ne saute pas sur le canapé” puis on décide des sentences (à faire exécuter par un bourreau, s’il vous plaît) exemple : “Je te préviens Bébou, la prochaine fois que je te vois sauter sur le canapé, tu vas au coin.”.

J’en viens donc au point suivant (mais quel enchaînement!^^):

6. Choses promises, choses dues

Si on décide d’une punition il faut qu’elle soit réaliste et réalisable. Oui, oui… Parce qu’après il va falloir (roulement de tambour) la réaliser!

Et ici le bourreau c’est toi! Donc on évite les “tu n’iras pas au cinéma” alors qu’on a  déjà acheté les places et que les copines nous attendent là-bas… Parce que, dans ce cas, on est bien dans la m…rde pour appliquer nos punitions…

7. Mieux vaut prévenir que guérir

Avec Bébou, je me suis rendue compte qu’une bonne partie des colères pouvaient être évitées en désamorçant les crises à l’avance. Genre “On va faire les courses, mais on n’achète pas n’importe quoi, je te préviens. Pas de colère, hein? D’accord?”. Bien sûr ça ne résout pas tout. C’est pas magique!

D’autant qu’il arrive souvent que ces chacals-du-supermarché mettent exprès, sur ta route, un sac-à dos-la-reine-des-neiges-à-paillettes, tentation ô combien irrésistible pour une enfant de moins de 5 ans. Et ce qui doit arriver… arrive!

8. Comprendre

Alors il faut tenter de comprendre : “oui chérie, je comprends que tu veuilles absolument cet affreux adorable sac. Moi aussi je le trouve incroyablement laid beau!” Parfois ça suffit. Sinon il te reste la célèbre technique d’enfumage du “si tu veux tu peux le garder pendant les courses et on le repose après” qui marche quand même drôlement bien (et pour ça je ne remercierai jamais assez le grand internet et ses conseils éclairés, merci, merci merciii!).

9. Se regarder dans les yeux

Si par malheur toute ses techniques ne parvenaient pas à éviter une colère. Parfois quand ça veut pas ça veut pas… Il reste le : “Stop! regarde moi dans les yeux. J’ai dit non, c’est non (cf. deuxième point) je ne céderai pas. Mais si tu veux je peux te laisser choisir les gâteaux pour le goûter… Non? Ah… d’accord. Repose ce sac et on y va.”

Youhou! Bombe désamorcée les gars! Well done!

J’en viens donc à mon dixième point :

10. Faire participer

Dans la vie on a parfois, souvent, besoin de faire autre choses que de jouer avec son enfant ou de lui lire des livres. Bah ouai, y a une maison à faire tourner, des lessives à étendre, des machines à vider etc… Trop de glam!^^.

Le truc qui marche avec Bébou c’est de la faire participer, au moins un petit peu, à sa hauteur. Genre décrocher les chaussettes et les mettre par paire. Elle sait faire et elle adore! En plus ça la valorise vachement de se sentir utile.

11. Complimenter

Et c’est là qu’il ne faut pas lésiner sur les compliments. “Oh, Poussin! Qu’est-ce que-tu m’aides biiien! Merci!”.

Le principe est de la valoriser sur ce qu’elle fait bien. Pour que le positif ai plus d’impacte que le négatif.

Chéri-chéri et moi on fait très attention à la complimenter. C’est hyper motivant! On prend 5 minutes pour lui glisser quelques mots doux dans le creux de l’oreille  “Bébou tu sais, ce week-end, tu as été très sage. On est très fiers de toi. On t’aime fort fort!”. Ses yeux se remplissent de fierté…. Et je fond!

12. Se dire qu’on s’aime

Ca semble évident mais on ne le dit jamais assez! <3

13. Se faire confiance, faire de son mieux et ne pas culpabiliser.

On fait ce qu’on peut avec ce qu’on a au moment donné. Mais ça j’en ai déjà parlé ici

Et toi? Quels sont tes petits trucs d’éducation? Allez… Dis-moi tout!

petit précis d'éducation.

J’aime pas pouponner

C’est drôle depuis que je suis enceinte, je me reprend en pleine poire les souvenirs de mon accouchement* et des premiers mois de Bébou.

et là, je flippe!

Oui parce que figure toi que mes premiers mois de maman j’en ai… euh comment dire? J’en ai chié. Voilà c’est pas joli-joli de dire ça, mais j’ai pas trouvé d’autres mots.

Dans ma petite tête de nullipare je m’imaginai une maternité fantasmée, belle comme une pub Guigoz. Ma fille et moi unies, blotties sous un plaide moelleux en un câlin interminable, le soleil de l’hiver caressant nos peaux, une tasse de thé fumant devant moi. L’extase.

Comment te dire que ma réalité de jeune maman n’as pas, mais alors PAS du tout ressemblé à ça.

Tout à commencé avec l’allaitement. “On” m’avait décrit une fusion avec son enfant proche de l’orgasme. Moi j’ai eu l’impression qu’on mettait des pinces crocodiles sur mes bouts de sein. Nan mais les meufs qui jouissent de l’allaitement elles prennent quoi? J’en veux!

Bref, j’ai allaité ma fille autant que j’ai pu (3 mois, je suis une warrior), mais crois-moi, j’ai vécu le passage au biberon comme un soulagement. D’abord parce que j’ai pu déléguer. Chéri-chéri étant ravi de m’aider (sauf la nuit, hein… Faut pas rêver!).

Ensuite, “on” (j’t’assure que si je l’attrape celui-là je l’étripe!) m’avait dit que les bébés ça dort tout le temps… Ah ah ah ah (rire nerveux)… Moi, la mienne, elle ne dormait jamais plus d’une heure et demi d’affilé. Autant te dire qu’à la fin du premier mois mes cernes touchaient quasiment par terre.

Pour éviter la fatigue la sage femme m’avait donnée une technique imparable, easy :

Quand bébé dort, tu dors.

J’ai essayé, j’te jure! Mais le temps que je m’endorme elle se réveillait déjà…. Et puis, quand tu fais ça, quand est-ce que tu trouves le temps de manger, te laver ou simplement éviter que ta maison ne se transforme en poubelle géante?

Comme tu peux l’imaginer… J’ai été, hum… un tout petit peu débordée par la situation.

Pour finir, quand tu deviens maman “on” (toujours lui!) te dit que tu développes un instinct de compréhension de ton enfant, que tu peux reconnaître son cri parmi celui de tous les autres. Bah je crois que je dois être dépourvue de cette option (oh combien pratique). Pour te dire, je me suis levée plusieurs fois, la nuit, croyant avoir entendu ma fille pleurer, alors qu’en réalité c’était la chatte du voisin qui était en chaleur…

Et puis… Pour moi un pleur est un pleur. Je n’ai jamais su distinguer le pleur de la faim, de celui de la couche sale, ou de celui du mal de ventre. Je dois pas avoir l’oreille assez fine, ou alors on m’a pas implanté de décodeur.

Toujours est-il que quand ton médecin te dis : “est ce qu’elle pleure de façon anormale?”… “Euh… C’est quoi normale?”, et qu’il te répond : “C’est à vous de le savoir, madame, vous êtes sa mère!”. Il te prend, comme-qui-dirait, des idées de meurtre : “J’ai pas de point de comparaison, connard!!!”

(désolée maman ce post est plein de gros mots, je sais, ce n’est pas classe, mais j’écris comme je parle, et des fois, ça sort tout seul…^^)

Alors voilà, ouii c’est vrai, je n’ai pas aimé pouponner. Et pourtant j’ai aimé mon enfant dès qu’il a prit place au creux de mon ventre.

Ca ne fait pas de moi une mauvaise mère, je t’assure. J’ai fait de mon mieux, à chaque instant. Et mon amour pour ma fille n’a fait que grandir en même temps qu’elle.

Aujourd’hui elle a deux ans et demi et des bananes et je me sens plus qu’épanouie dans mon rôle de mère. Mais l’idée de devoir repasser par là me fait tout de même un peu peur (beaucoup peur?).

“On” dit que pour le deuxième c’est différent, mais “on” m’a dit tellement de conneries que j’avoue rester perplexe…

Et toi? tu les as vécu comment ces premiers mois? Raconte-moi tout!

*comme promis je vous raconte cette épopée ici, ici et ici (et ouiii c’est loong)!

jnspup_pouponner

Mes petites soupes

Aujourd’hui, petit internet, je te partages rapido mon truc de feignasse pour avoir de la soupe prête les soirs de flemme (c’est à dire presque tous les soirs).

Quand j’ai la motivation et des légumes sous la main (c’est à dire pas souvent) je fais une demi tonne de soupe. Bien sûr je peux pas tout manger le soir même et, se taper la même soupe tous les soirs pendant une semaine… Très peu pour moi!

Du coup je congèle. Normale. Mais, pour que ce soit plus facile à décongeler, je divise ma soupe en portions.

Pour cela rien de plus simple. Je verse ma soupe dans des moules en silicone (ici des moules à cannelés) et zou! Au congèl’

img_1445

Quelques heures après y a plus qu’à démouler et à mettre dans un petit sac de congélation. C’est hyper pratique!

img_1446

Voilà!

Et toi tu fais comment?

Nan parce que là je commence à me préparer en mode survivor de l’après naissance… Ouai, je sais, c’est tôt. Mais j’en ai tellement bavé à la naissance de Bébou* que là j’ai décidé de me blinder, et ça commence par le besoin “number one” : manger!

*Tiens d’ailleurs je m’en vais te raconter ça dès demain!^^

img_1447

img_1448