En terme de gras reste la galette des rois et on est tranquille pour presque un mois.
Je ne vous donnerai pas de recette, d’abord parce que je n’aime pas ça… Ensuite parce que je n’aime pas ça. Et n’essayez même pas de me convaincre bande d’ayatollah de la frangipane. Moi la galette je la mange seulement pour avoir la fève et porter la couronne en carton moche.
Mais cette année, la couronne en carton c’est comme Capri, c’est fini.
Alors j’ai farfouillé dans mes boîtes à merdiers créatifs et je suis tombée sur ces vieux napperons et ces rubans de dentelles récupéré chez ma grand-mère.
Ni une, ni deux, je les ai trempé dans de la colle à bois
et fait séché à plat sur un bout de cellophane.
Un petit coup de bombe de peinture plus tard, je les ai recourbés et collés avec mon pistolet à colle.
Et voilà de jolies couronnes des rois pleines d’histoires et réutilisables chaque années !
Et en le faisant sécher sur un saladier on obtiens un jolis pot ou un chouette abat-jour.
Aujourd’hui je te partage le gâteau préféré de mon mec :
Le financier !
Non pas qu’ils soit capitaliste (bien au contraire) mais c’est le genre de gâteau qui disparaît sitôt sorti du four.
Alors, comme il est ultra simple et qu’il n’utilise que des blancs d’œufs (c’est donc bien pratique quand on fait des palets bretons qui eux, n’utilisent que des jaunes)
Il suffit de mélanger
4 blancs d’œufs,
150g de beurre fondu,
150g de sucre,
130g de poudre d’amande
50 gr de farine.
De mettre dans des moules (ceux qu’on veut) et de laisser cuire longtemps à 180°. En vrai je serai bien incapable de vous donner une durée de cuisson, vu que ça dépend de la taille des moules.
Moi j’attend que ça sente bon et que ça dore un peu sur le dessus. Et si j’ai un doute, je teste en piquant avec un couteau.
Voilà !
La recette archi-simple et sa cuisson au pifomètre (c’est comme ça que c’est bon)
Allez ! Sur ce, je m’en vais tester une recette de falafel (souhaitez-moi bonne chance !)
Je suis quelqu’un de profondément optimiste. Un bisounours sous acide qu’ils disent.
Pourtant, depuis plusieurs années j’ai peur.
Tous les jours.
Sans discontinuer.
On ne la voit pas, et pourtant, elle est là, tapie dans l’ombre, au creux de mon estomac.
Elle ne me lâche jamais.
Même quand je rie.
Elle est tentaculaire et se nourrit de toutes ces informations que j’ingurgite.
Ces informations qui me répètent en boucle que le monde se détruit.
Ce monde où l’on oublie que l’autre est notre égal, sans distinction de sexe, de couleur ou de religion.
J’ai peur pour notre société, où l’on envie les petits avantages de nos voisins en oubliant que les personnes les plus riches s’accaparent la majorité des richesses.
Où petit à petit, l’on casse les services publiques qui faisaient, jadis, notre fierté.
Bientôt nous devrons payer pour l’éducation, la santé, la retraite.
Mais cette peur sociale est talonnée de près par une autre, plus sournoise, plus silencieuse.
Une peur dont on parle moins et pour laquelle nous avons peine à agir.
Et si notre société s’effondrait demain?
Si l’approvisionnement de pétrole s’arrêtait ?
Si l’eau venait à manquer ?
Si la terre se réchauffait au point qu’il soit impossible pour les populations du sud de survivre ?
Qu’adviendrait-il de notre monde ?
Cette peur là, je l’ai vissée au corps.
Elle ne me lâche pas.
M’empêche de construire des projets à long terme.
À quoi bon si demain n’existe pas ?
Alors j’ai cet instinct qui monte du tréfonds de mes entrailles. Un instinct de survie.
Il faut que je protège mes enfants !
Je dois faire tout ce qui est en mon pouvoir pour que cela change.
Puisqu’on me l’a réclamé à cor et à cri sur Instagram (oui, oui, carrément !), voici la recette de la limonade de sureau.
C’est exactement comme la limonade d’acacia dont j’avais parlé il y a quelques temps (une éternité à l’échelle du Blog) et je vous la remet donc là, mais avec de jolies photos.
Parce que si la vie te donne des fleurs de sureau… Tu fais de la limonade.
Cela fait quelques années que nous faisons de la limonade (que ce soit avec les fleurs du sureau ou de l’acacia glané au fil de nos balade) et, nous, on adore! C’est idéal l’été bien frais quand il fait bien trop chaud !
Et c’est très facile à faire !
Il te faut :
1 sac à vrac (genre les grands pour les fruits) plein de fleurs d’acacia
4 litres d’eau
2 citrons coupés en rondelles
350 grammes de sucre en poudre
Un grand récipient (ou plein de petits). Attention si le goulot est trop étroit les fleurs resteront coincées dedans.
Maintenant y a plus qu’à :
égrainer les fleurs de sureau et les débarrasser des petites “branches vertes” des ombelles et des éventuels insectes.
Les mettre dans le récipient avec l’eau, le sucre et les rondelles de citron.
Maintenant on laisse tout ça macérer 2 ou 3 jours au soleil (en protégeant le goulot à l’aide d’une gaze pour pas que des bébêttes ne s’invitent dans la potion).
On filtre.
On met dans des bouteilles de limonade (pas de bouteilles normales sinon le bouchon saute lors de la gazéification).
D’aussi loin que je me souvienne j’ai toujours eu de l’eczéma. J’ai eu souvent envie de m’arracher la peau et parfois je l’ai fait.
Souffrir d’eczéma c’est voir tour à tour sa peau suinter, sécher, peler et craquer. C’est supporter jour après jour des démangeaisons insupportables et des brûlures intenses.
L’eczéma est une maladie ingrate et sournoise. Elle arrive sans crier gare au moindre petit signe de faiblesse, elle s’insinue dans le plus petit repli de l’épiderme, et attaque autant la peau que la confiance en soi.
Outre la souffrance physique, il y a celle psychologique de se voir défigurée, de se sentir épuisée par la fatigue et le risque d’infection.
Combien de fois j’ai pleuré de douleur après que mon épiderme se soit embrasé? Combien de spécialistes ai-je consulté? Combien de crèmes miracles ai-je appliqué, remplie d’espoir?
Rien ne semble vaincre cette maladie dont finalement on ne sait pas grand chose. Il semblerai que la génétique, le stress, la fatigue et les allergènes se partagent joyeusement la tâche de déclencher chez l’enfant et (plus rarement) chez l’adulte, ce que l’on appelle joliment “un prurit eczémateux” (si ça c’est pas le plus vilain mot de la langue française…).
Je crois avoir tout essayé pour tenter de vaincre ce fléau, qui a bousillé mon adolescence et abîme bien trop souvent ma vie de maman. A chaque fois je suis pleine d’espoir et chaque fois je suis déçue.
Aussi quand j’ai reçu le communiqué de presse de cette marque de vêtements spécialement conçue pour soulager l’eczéma, j’ai aussitôt proposé de le tester. Et si c’était la solution pour apaiser mes maux? Malheureusement, outre, la douceur du tissu (en coton et fil d’argent), je n’ai rien perçu d’autre et ma peau a continué à flamber.
Peut-être que je suis un cas. Peut-être que c’est un produits inutile. Je n’en sais rien, mais je me dois, par soucis d’intégrité, de vous donner mon avis, tel quel, sans enjoliver la réalité.
Ca y est le printemps arrive! N’entends-tu pas le pépiement des oiseaux? Ne vois-tu pas la nature se réveiller? Ne sens-tu pas le doux parfum des violettes dans ton jardin?
Et quand la vie te donne des violettes, tu fais du sirop!
Et c’est tout simple. Tu vas voir!
Il te faut :
1 bol de violettes fraîches (plus elle sont jeunes mieux c’est)
1 bol d’eau
1 bol de sucre blanc
1 citron
Il suffit de :
mettre les 3/4 de l’eau et le citron dans le bol, le couvrir et laisser tremper 24 heures.
au bout de 24 heures, prendre le quart d’eau restant et le sucre, le mettre dans une casserole et faire chauffer à feu doux à moyen pour faire un sirop de sucre assez épais. Attention à ne pas laisser caraméliser.
presser les fleurs pour extraire le jus (qui doit avoir une belle couleur violette) et filtrer pour ne garder que le jus
Cette semaine c’est la semaine européene de prévention et d’information de l’endométriose.
Hier est sortie mon interview sur Cher corps à voir ici . Le fait que cela tombe la veille de la semaine de l’endométriose est un pur hasard (qui, pour une fois, fait bien les choses). Du coup j’en profite et je te republie un article sur l’endométriose que j’avais écrit en 2016 (waouuu ça fait un baille!).
Allez, c’est parti :
“Je ne suis pas la seule à souffrir d’endométriose, loin de là, puisqu’on considère qu’une femme sur dix en est atteinte… Eh ouai c’est pas rien ça ma p’tite dame! Et pourtant on ne sait toujours pas comment cette maladie arrive et encore moins comment la faire partir. C’est dire si la recherche est active sur le sujet.
Bref… Si tu as des tendances hypocondriaques, je te rassure. On ne meurt pas de l’endométriose. Non. On en souffre juste. Chouette!
Alors… Pour te rassurer (ou pas) voici les symptômes de cette chère endometriosis :
Règles douloureuses (on devrait plutôt dire extra-douloureuse… genre à tomber dans les pommes, à vomir, à se vider de partout. La joie quoi!)
Des rapports sexuels douloureux (Bonheur!)
Des douleurs quand tu urines ou que tu vas à la selle (pas celle du cheval, hein!)
Des douleurs pelvienne (autour de la chatte – traduction)
Bref, des douleurs merdiques
Une fatigue chronique
Infertilité
Mais qu’est ce que ça fait en vrai?
Bah en vrai l’endométriose c’est quand ton endomètre a décidé de venir foutre le bordoule dans ton vagin (et autour) au lieu de descendre bien gentiment pendant les règles.
Et ça donne ça :
Des nodules simples (c’est des petits lésions)
Des kystes ( c’est des grosses boules sur tes ovaires alors que c’est même pas Noël)
Des adhérences (ça c’est quand tes organes ont décidés de se faire des bisous et qu’ils sont restés collés, comme avec un appareil dentaire… Tu vois)
Des nodules compliqués (qui vont se mettre à des endroits pas possible)
Il existe 5 stades pour qualifier une endométriose. Ça va du stade 1 (minime) : pas trop étendue mais parfois très douloureuse – au stade 5 (extensive) : là c’est la merde! Infertilité sévère, douleurs quotidiennes, chirurgie et touti quanti.
Pour info je suis au “stade 4 avec atteinte sévère et profonde” ce qui entraîne une “infertilité sévère” (elle aussi! Dites-dons, z’êtes pas sympa là!).
Bon tout ça pour dire que c’est vraiment une maladie de M E R D E et que ce serait bien sympa que nos chercheurs se penchent un peu là dessus tu ne croies pas?
Nan parce que je veux pas faire ma parano mais j’imagine bien que si un homme sur dix avaient des douleurs à tomber par terre tous les mois à leur endroit le plus sensible ET que ça les rendait généralement stériles… On aurait lancé la recherche depuis belle lurette !”
Voilà, j’espère que cet article t’aura aidé à connaître mieux la maladie et peut-être à mieux comprendre ce que vivent certaines femmes autour de toi.
J’aurais même pu mettre ta mère qui parle de sa chatte sur youtube, mais la mienne (de mère) me lit et elle aurait trouvé ça abusé (à coup sûr).
Alors pourquoi ce titre un brin racoleur? Et bien pour te dire que tu peux voir ma face te parler de sujet joyeux tels l’endométriose et la PMA sur la géniale chaîne de Léa Bordier et sa série Cher Corps dont je t’avais déjà parlé.
C’est donc avec pas mal d’appréhension mêlé d’excitation que je te partage mon expérience autour de l’endométriose, cette maladie dont on commence à parler mais dont on ne sait rien et qui touche une femme sur dix environ.
Je te raconte comment j’ai découvert que j’en étais atteinte, comment j’ai eu la chance d’être rapidement prise en charge et comment, grâce à la PMA, j’ai pu mettre au monde deux merveilleuses petites filles.
Je tiens à remercier Léa qui m’a accueilli chez elle et qui nous a écouté mon stress et moi avec bienveillance et douceur. Merci pour son travail inspirant. Et j’espère sincèrement que mon témoignage pourra aider d’autres femmes.
Du coup, si ça t’intéresse d’en savoir plus, voici une série d’articles plus ou moins anciens sur le sujet :
Ca fait un an que je le sais, un an qu’elle m’en parle.
Son anniversaire serait sur le thème des licornes ou ne serait pas.
Une année, donc, que je collecte tout plein de petites choses sur le thème des licornes, des prout à paillettes et des cacas papillons (oui, oui, tout ça!).
Comme toujours, il était impensable pour moi de dépenser une fortune en déco jetable. J’ai donc limité les achats aux magasins discount (Noz, Action et Zeeman grâce à Yveline) et privilégié la récup et le DIY.
Je m’étais posé une limite à 20 euros… Que j’avoue avoir un poil dépassé (une trentaine d’euros en tout bonbons compris), mais comme j’ai pu revendre l’intégralité de la déco à une insta-copine, je suis finalement dans les clous.
La déco :
Les plus gros investissements étant les deux petites lampes (licorne et arc en ciel) à 2,99€ chacune, et finalement, je me dis que c’est ce dont j’aurais pu me passer le plus facilement.
Pour le reste, j’ai remarqué que les petits éventails colorés dégotés chez Action pour une bouchée de pain(0.99€ les 3 si mes souvenirs sont bons) sont décidément ce qui habille le plus. Associés avec les petits confettis en papiers de soi, eux aussi provenant de chez Action, je trouve cela presque suffisant.
Pour parfaire la déco j’ai fabriqué cette grande tête de licorne à paillettes dorées, ainsi que la pinata arc en ciel (je ferai peut-être, si cela vous tente, un tuto plus détaillé, dites-le moi en commentaire).
Pour ce qui est de la table. Des serviettes en papier Zeeman à 0.99€ découpées en forme de cœurs (en prenant soin de ne pas couper les pliures) et un reste d’assiettes en carton argentées (reste de son anniversaire sirène, où elles étaient alors découpées en forme de coquillage) suffisent. La nappe est un vieux drap jaune pâle donné par belle maman et les confettis papillons viennent de chez noz.
Le marque place de la “reine de la fête” est, tout simplement une figurine de cheval couverte de colle et de paillettes avec une corne faite au pistolet à colle chaude. Elle servira également à faire un “la licorne n’est pas passée” (remix de “le facteur n’est pas passé” à la sauce licorne). Tiens, puisqu’on parle des jeux…
les activités pour l’anniversaire Licorne :
D’abord, pour que les enfants se sentent dans l’ambiance, chacun avait une paire d’ailes de papillons (trouvées chez Action pour moins d’un euro). Cela les as immédiatement mis en condition pour rentrer dans l’univers et faire les activités :
1 / Du Plastique Magique
Avec des formes à colorier et à regarder ensuite rétrécir à vu d’œil au four.
Pour que ce ne soit pas trop long, j’avais pris le temps de décalquer et de découper plusieurs motifs simples (dont voici la planche de modèles à télécharger)
2 / La licorne n’est pas passée
(dont je vous parlait plus haut). Si vous ne connaissez pas les règles il y a une très bonne d’explication ici
3 / Une course à la paille
Chaque enfant doit transporter un bout de feuille d’un point A à un point B en aspirant avec sa paille pour le maintenir “collé” au bout sans le faire tomber. Vous pouvez trouver les modèles pour les feuilles à découper et à colorier ici.
Une fois tous les éléments dans le point B, on débloque le premier indice de la chasse au trésor
4 / Une chasse au trésor
Qui emmène les enfants à la pinata où ils trouveront leurs petits cadeaux d’invités (ici une petite trousse pailletée (Action 0.49€ pièce) avec une figurine dedans (Noz 0.75€ pièce).
Vous pourrez trouver les indices à imprimer et à colorier ici. Moi j’ai aussi mis des paillettes au dos afin de les camoufler joliment dans le salon.
5 / Le goûter
Avec un beau gâteau à la framboise, mais surtout moult bonbons (car c’est finalement ce que les enfant préfèrent).
D’ailleurs chaque enfant repart avec son petit sachet de bonbons (les sachets viennent de la foir’fouille et ont déjà été utilisés pour deux autres anniversaires ainsi que pour des cadeaux aux maîtresses et aux ATSEM)
6 / Une danse de papillons magique
En fait c’est juste le fait de mettre de la musique. Les enfants dansent dessus et doivent se figer en statue lorsque celle-ci s’arrête. Celui qui bouge est éliminé (au moins 10 secondes^^).
7 / Fabrication des colliers
Maintenant que les créations en plastique magique ont refroidit, il suffit de les passer dans un cordon ou un ruban avec un petit nœud autour de chaque élément.
Une dernière customisation (à l’aide de strass collants) de leurs créations en plastique magique et le tour est joué!
… Et avec un peu de chance, on arrive à l’heure de retour des parents en un seul morceau.
Avant de commencer ce post exceptionnel, laissez-moi vous souhaiter :
Une très belle année 2019.
Bien sûr, je vous la souhaite heureuse (impossible de dire le contraire, n’est-ce pas). Mais ce que je souhaite avant tout (en dehors de la santé toussa toussa) c’est que le partage d’idées, lancé à travers le mouvement des gilets jaunes, continue de traverser la société.
En effet, on a beau ne pas se reconnaître dans ce mouvement populaire, il a eu l’avantage de créer du débat.
Et le débat c’est bien!
Ça offre de nouveaux points de vus, de nouvelles perspectives, ça structure la pensée, ça nous mets face à nos propres contradictions, etc.
Et qui y-a-t’il de plus noble que de s’intéresser à notre vie en société, à chercher des solutions pour mieux vivre ensemble?
Ca peut sembler très “miss France” tout ça, mais je suis persuadée qu’un monde plus juste est possible et qu’il suffit de pas grand chose pour faire mieux. Encore une fois c’est la théorie du petit colibri. Mais siii! J’en ai déjà parlé ici (et ici et ici) c’est le fait de dire que chaque action, même la plus petite, peu changer le cours des choses.
Si chacun s’y met un peu on y gagne tous beaucoup
Alors, aujourd’hui, et pour la première fois sur ce blog, j’ai décidé de parler de politique. Je ne sais pas ce que ça donnera, mais je me dis que, si c’est important pour moi(et ça l’est) il n’y a aucune raison qui m’empêche d’en parler ici.
C’est difficile de parler politique, et je ne suis, finalement, peut-être pas la meilleure placée pour en parler. C’est pourquoi, plutôt que de vous écrire un pavé sur ma vision du monde, je vais vous partager ici :
les vidéos et podcasts qui me font réfléchir sur la société (au sens large).
Avant de commencer, et par soucis d’honnêteté, je tiens à préciser où je me situe dans l’échiquier politique. Car, même si, pour beaucoup de mes lecteurs, mes orientations politiques ne font aucun doute (une prof-bobo-écolo qui accueille des migrants est rarement de droite), je me dois de clarifier les choses. Je suis plutôt “très à gauche“… Enfin c’est ce qu’il paraît. Moi je dirais juste que je suis de gauche, genre la vrai gauche : celle qui prône un partage plus juste des richesses et un meilleur service publique. Celle qui trouve invraisemblable qu’1% des plus fortunés se soient accaparé 82% des richesses créées l’an dernier. Celle qui oeuvre pour l’écologie afin que nous ne léguions pas à nos enfants une planète agonisante.
Nous avons, aujourd’hui, la chance d’avoir accès à un outil d’information ultra puissant : Internet, qui, si on sait garder son esprit critique, est une source de savoir, d’ouverture et de réflexion inépuisable.
Voici donc mes vidéos politiques préférées :
ThinkerView :
Je n’ai pas encore fini de toutes les regarder (enfin, de toutes les écouter), car elles sont longues mais, celle-ci, est, pour l’instant, de loin ma préférée :
D’ailleurs si comme moi vous souhaitez adhérer à cette association (anticor) qui veille sur l’intérêt général n’hésitez pas à le faire sur leur site internet www.anticor.org
Les conférences d’Inculture(s) :
Franck Lepage et Gaël Tanguy font de la vulgarisation politique. Drôle et instructif.
Cash investigation :
Même si je n’aime pas trop son format, un peu trop caricatural à mon goût, ce magazine “mainstream” a l’avantage de lever de vrais lièvres (sources à l’appuis) et d’être en accès gratuit sur le net.
Là bas si j’y suis :
L’ancien magazine de France Inter continue sur internet. C’est payant mais c’est bon et c’est une excellente idée de cadeau zéro déchet (c’était celui de l’homme cette année^^)
Le média :
Un média conventionnel qui prend le temps de donner la parole aux gens.
La tronche en biais :
Car le principale, plus que de s’informer c’est TOUJOURS de douter et d’aiguiser son sens critique :
Et pour finir, afin de compléter ces vœux politiques, voici ceux de Vincent Verzat (de partager c’est sympa) pour Médiapart :