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DIY cake topper

Coucou l’internet!

Aujourd’hui je partage avec vous un petit DIY facile (promis!) afin de fabriquer un joli cake topper. J’en avais déjà fait un pour l’anniversaire de ma sœur et j’ai réitéré pour le mariage d’un couple d’ami. “better together”.

DIY cake topper "better together" by "je ne suis pas une Poule"

Alors, comme promis je vous montre (en image) comment le réaliser facilement.

1/ Télécharger le fichier ici et imprimer le printable  sur une feuille un peu épaisse.

 2/ Le découper afin de ne garder que la partie jaune.

DIY cake topper "better together" by "je ne suis pas une Poule"

3/ Bomber le texte en doré

DIY cake topper "better together" by "je ne suis pas une Poule"

4/ recouvrir le texte de colle à bois.

(mettre le travail sur un pochette plastique texturée afin d’éviter que celui-ci ne colle à la table)

DIY cake topper "better together" by "je ne suis pas une Poule"

5/ Saupoudrer de paillettes (fines)

DIY cake topper "better together" by "je ne suis pas une Poule"

6/ Laisser sécher et réitérer l’opération sur l’autre face.

7/ Combler les éventuels trous avec de la colle et des paillettes

DIY cake topper "better together" by "je ne suis pas une Poule"

8/ En suite il n’y a plus qu’à coller deux piques à brochettes en bois

Pour faire tenir sur le gâteau ( au pistolet à colle chaude ça marche mieux, mais c’est aussi possible avec de la colle à bois pour peu qu’on laisse suffisamment bien sécher)

Voilà! C’est fini!

Voilà ce que ça donne en situation au très beau mariage de Julie & Arnaud (auquel je n’ai malheureusement pas pu assister pour cause de fatigue post césarienne).

DIY cake topper "better together" by "je ne suis pas une Poule"   DIY cake topper "better together" by "je ne suis pas une Poule" DIY cake topper "better together" by "je ne suis pas une Poule"

J’espère que ça vous a plu et que ce DIY vous sera utile si vous planifiez un mariage et que vous ne souhaitez pas mettre un rein dans l’achat d’un cake topper tout fait.  Si c’est le cas n’hésitez pas à me le partager sur Instagram

Point fonte des graisses # 1

Aujourd’hui on se retrouve pour un premier bilan sur le projet “fonte des graisses”.

Premier bilan plus que médiocre vu que j’ai à peine perdu 500g.

Bon… on va rester positif et se dire que j’ai limité les dégâts…

Il faut dire que cette rentrée a été sportive !

Je n’ai pas arrêté de courir… après le temps ! Quoi? Ca ne brûle pas les calories ?! Dommage…

Ouiii… Je devais aller à la piscine. Je me l’étais promis. J’y suis allée une fois, avec Bébou ! Quoi?! C’est pas du sport la pataugeoire?

Niveau alimentation ce n’est pas bien brillant non plus.

Je n’arrive pas à me motiver à cuisiner le soir. Quand je rentre après une journée de boulot je n’ai qu’une envie : mettre les pieds sous la table et m’affaler dans mon lit pour une bonne nuit de sommeil.

Alors franchement me motiver à nettoyer, éplucher, couper et accommoder des petits légumes pour me faire des petits plats sains, bio, beaux et bons c’est au dessus de mes forces. Je cède alors aux sirènes de la facilité et de la gourmandise (#teampatescarbo).

Le problème c’est que je me sens tellement vidée que je ressens le besoin de me remplir.

Me demande pas la logique derrière tout ça. J’ai bien conscience qu’il n’y en a pas. Mais que veux tu j’ai l’impression inconsciente que manger (gras si possible) va me redonner l’énergie nécessaire à affronter mon emploi du temps de ministre.

Je me dis qu’il faut que je trouve mon équilibre dans cette nouvelle vie de working-mum de deux pépettes avant de me focaliser sur mon équilibre alimentaire. Mais je sais que ce n’est qu’une excuse de plus et que dès que celle-ci n’aura lieu d’être j’en trouverai une autre.

Peut-être que c’est ma façon de refuser d’accepter mes failles.

Il faut toujours que mes faiblesses aient de (plus ou moins) bonnes excuses.

Ma mission du mois d’octobre est donc d’arrêter de me chercher des excuses et de me prendre en main. Aller! On ne lâche rien !

A bientôt pour d’autres nouvelles  “kilographique” que j’espère meilleures

des bécots.

Kit de survie pour jeune maman (printable)

Il y a un tout petit mois je suis devenu tata. Tu le sais peut-être déjà vu comment j’ai bassiné les réseaux sociaux avec. Bah quoi?! Quand j’suis heureuse j’le dis!

L’occasion pour moi de ressortir mon Petit Kit de Survie pour Jeune Maman.

Qu’est ce que c’est? Et bien c’est une séries de petits cadeaux à destination exclusive des nouvelles mamans. Parce que, soyons honnête 5 minutes, c’est elles qui ont fait tout le travail! Et pourtant y a qu’au bébé qu’on offre des cadeaux, alors qu’il n’a fait que se laisser pousser vers la sortie (nan mais!).

Quand ma copine Lau était devenue maman j’avais commencé à imaginer ce petit kit de survie post-accouchement, à destination des mamans, donc. Pour ma soeur je l’ai modifié quelque peu et je me suis dit que je pourrai te le partager.

Le voici donc :

Il est constitué :

  • d’une feuille “d’accueil”
  • d’un petit mot de bienvenu
  • de la liste des cadeaux présents dans le kit
  • de fiches “bon plans” (12)
  • d’une fiche numéro de téléphone (en cas d’urgence… ou pas)
  • de feuilles d’emballage pour chacun des cadeaux

Voilà!

Si ça te plait tu peux cliquer sur le lien ci après pour télécharger le kit_filles ou bien le  kit_gars en PDF. Ouiii, c’est un peu sexiste mais j’ai essayé de dépasser le clivage rose-pour-les-filles et bleu-pour-les-garçons. 

Les voici !

Ca te plait?

N’hésite-pas à me le faire savoir (ça fait toujours plaisir). C’est juste en dessous, là, dans les commentaires :

La rentrée un mois après

Oui, je sais, je suis un peu à la bourre pour parler de la rentrée. Vu que ça fait déjà un mois que nous sommes rentrées et…

J’ai survécu!

Bon… J’ai des cernes de trois kilomètres de long et chaque matin, quand le réveil sonne je me demande où je trouve encore la force de me lever. Mais je suis toujours vivante. La preuve je suis en train d’écrire.

J’écris même du lycée où je profite de l’absence d’une classe pour laisser mes doigts courir sur le clavier. Ce post sera donc probablement complètement décousu (comme si ce n’était le cas d’habitude…)

Bref.

Bébou est rentrée (enfin) en maternelle et fait le difficile apprentissage de la vie à l’école.

Elle aime :

  • La cantine. Il paraît que c’est trop bon. Perso, je ne sais pas si c’est trop bon, en tous cas c’est sûr que c’est trop cher!
  • Les courses de vélo dans la cour
  • Les histoires et les jeux “pour apprendre”

jeu abysmile X les maternelles sur "je ne suis pas une poule"

  • L’anglais (car Bébou a la chance d’être dans une école participant au projet EMILE. Elle a aussi deux petites américaines dans sa classe et ça la passionne!)
  • Son “maître-Yves” qui a, je cite : “le plus beau prénom du monde!”

Elle n’aime pas :

  • Ecouter tout le temps les consignes. Il semblerait d’ailleurs (selon maître-Yves que ma fille est : “maline mais têtue” sans déc?! Bonne chance à lui…)
  • Rester assise “on est tout le temps assis à l’école”
  • “Les garçons avec des lunettes et les garçons qui ont pas de lunettes”
  • Les filles qui ne veulent pas jouer avec elle. Bon, il faut savoir que Bébou ne propose à personne de jouer avec elle. Elle se contente de regarder les filles avec toute l’intensité dont elle est capable en espérant qu’elles comprennent le message… Apparemment, non.

Lissou a fait son entrée à la crèche (déjà…)

Elle aime :

  • manger ses mains
  • Les câlins des dames de la crèche (moins que ceux de papa et maman, mais quand même)
  • Les groooos biberons (d’où le fait que miss Lissou remplisse à 3 mois des pyjamas en 9 mois)
  • Nous retrouver le soir à grand renfort de sourires

Elle n’aime pas :

  • Les nettoyages de nez
  • Attendre le biberon ( quand elle a faim, elle a faiiiim!)

Quant à moi j’ai repris le travail (trop tôt)

J’aime :

  • Parler à des adultes (ou presque, mes élèves ayant souvent 3 ans d’âge mentale j’ai l’impression de me retrouver face à une classe de 30 Bébou…)
  • Retrouver mes collègues le midi
  • Mettre en place des projets. Ouiii… Je sais! J’avais dit pas de projet, cette année je me repose. Mais que voulez-vous, je suis faible.

Je n’aime pas :

  • Me lever à 6h tous les matins (surtout quand Lissou a pris son bib à 5h)
  • Avoir à faire la police. “Keviiin! Ne mort pas ton copain!” (oui, mes élèves ont entre 15 et 19 ans… Ca fait peur, hein?!)
  • Faire des papiers pour rapporter les incidents “le 26 sept 2017 à 10h25 Kevin X a mordu son voisin afin, je cite : de rigoler. Un tel comportement est inadmissible en classe etc..” ( l’administratif m’a tuER)
  • Recevoir un milliard de mail dont la moitié ne me concerne absolument pas.
  • Rentrer à la maison à 18h pour enchaîner sans transition avec ma vie de mère de famille (courses à faire, repas à préparer, linge à étendre ou à plier, bref, la routine habituelle, quoi!)

Voilà voilà.

Et toi elle était comment ta rentrée?

 

Une peur inattendue

J’ai longtemps hésité à écrire l’article d’aujourd’hui. Je ne savais pas comment aborder ce sujet. J’avais peur de mal exprimer cette peur qui ne m’a pas quitté depuis la naissance de Lissou, ma deuxième fille.

Une peur que je n’avais pas prévue et qui m’a complètement déstabilisée.

Je m’explique. Quand la petite est née je me suis mise à craindre ma grande fille, ma Bébou. A me méfier de chacune de ses réactions. Prête à bondir au moindre mouvement suspect. J’imagine que c’est mon instinct de maman louve qui avait pris le dessus, me faisant imaginer les pires scénarios.

Bébou est pourtant généralement très tendre avec sa petite sœur… Mais la tendresse d’un enfant de trois ans…. c’est parfois maladroit.

Et puis, parfois, l’arrivée d’un bébé peut générer des pulsions difficiles à gérer chez un enfant. Je suis bien placée pour le savoir, l’arrivée de ma petite soeur ayant fait naître chez moi une série de sentiments contradictoires allant de l’amour à la haine la plus profonde. C’était il y a 28 ans et je m’en souvient encore, c’est dire…

Peut-être ai-je fait un transfert. Peut-être me suis-je montée la tête pour rien.

Mais c’est si fragile un nouveau né!

Un rien pourrait avoir des conséquences irréparables. Une couverture posée “pour qu’elle ait bien chaud maman” et qui remonte sur le visage. Un gâteau partagé en toute générosité. Un jouet qui tombe. Un bisous maladroit. Un geste d’humeur irréfléchi. etc.

Il aurait suffit d’un instant pour que tout bascule. Pour que la vie de mes filles, mes deux amours, mes batailles, soit irrémédiablement gâchée, détruite.

On ne se remet pas de ce genre de chose.

C’est quelque chose que je n’avais absolument pas envisager à la naissance du deuxième. Et j’ai trouvé très difficile de vivre avec cette peur viscérale que ma grande blesse sa sœur. J’ai beaucoup culpabilisé de ressentir cette méfiance envers ma Bébou. S’ajoutait à tout ça l’appréhension qu’elle sente que j’avais peur d’elle, et qu’elle se mette, elle aussi, à craindre ses propres réactions.

Aujourd’hui (et c’est peut être pour ça que j’arrive à écrire sur le sujet) je n’ai plus peur. Lissou est désormais une petite fille de 3 mois solide (oui ma fille est une grosse-dondon-à-bisous que je dois déjà habiller en 6-9 mois). Bébou, quant à elle, a accepté la présence (définitive) de sa soeur et a intégré les règles qui vont avec (d’autant plus que je les ai rabâchées sans relâche, eu égare à la peur susnommée).

Et toi? Tu as déjà ressenti ce genre de peur irrépressible?

Souterrains

Coucou l’internet!

Aujourd’hui je reviens les joues gonflées de fierté, un vrai hamster bourré d’orgueil.

Aujourd’hui je viens te parler du nouveau bébé de Chéri-chéri. Je te rassure, il ne m’a pas fait d’enfant dans le dos. Non. C’est juste que sa dernière bande dessinée est enfin sortie, après trois ans de gestation.

Car oui, mon homme a un talent fou et il dessine comme un dieu. Bah quoi?! Je t’ai dis que j’étais fière (fière et objective, en plus).

Alors permets-moi de te présenter :

Souterrains

souterrains Romain Baudy magnifique BD graphique

Un récit steampunk où drame social rime avec aventure fantastique !

Voilà le pitch :

“Le monde de la mine se divise en deux catégories : ceux qui sont avec le Patron, et ceux qui creusent. Lucien creuse… Jusqu’au jour où les entrailles de la terre lui révèlent un monde peuplé de créatures aux proportions effrayantes.

En mêlant réalisme et fantastique, Romain Baudy dynamite les frontières entre l’imaginaire et le récit politique pour nous offrir une aventure coup de poing.”

Et comme une image vaut mieux que mille mots voici quelques extraits :

souterrains Romain Baudy magnifique roman graphique souterrains Romain Baudy magnifique roman graphiquesouterrains Romain Baudy magnifique roman graphique souterrains Romain Baudy magnifique roman graphique souterrains Romain Baudy magnifique roman graphique

Un magnifique roman graphique que je vous invite vivement à découvrir. Et comme je suis sympa (et l’homme aussi) on te propose de gagner un exemplaire de la BD dédicacée (pour qui tu veux!^^).

Pour participer il suffit de partager cet article sur facebook avec le #souterrainsbaudy (pour cela il te suffit de cliquer sur le lien de partage en bas de cet article)  et/ou de partager cette image sur mon compte instagram avec le #souterrainsbaudy (aussi!).

Le gagnant sera annoncé la semaine prochaine.

Bonne chance!

Est-ce un travail d’être mère?

Après Angélique, voilà que moi aussi je mets gaiement les pieds dans le plat! Go, go, go, pour un sujet passionnant et passionné qui divise plus qu’il ne rapproche (et c’est bien dommage).

Bref!

Comme je suis une bonne élève (#têtedeprof) je m’en suis allée farfouiller dans l’antre de l’information haute-qualité (j’ai nommé wikipédia) afin de chercher la définition du “travail”.

Je cite : “le travail est l’activité rémunérée qui permet la production de biens et services”. Si l’on suit cette définition on ne peut donc pas dire que le fait de s’occuper de son foyer et de ses enfant soit un travail (puisqu’il ne génère pas de revenu. CQFD).

En revanche je peux vous dire qu’être maman c’est du travail!

Oui c’est du boulot d’être mère!

Et, que l’on soit au foyer ou non, s’occuper de ses enfants et de sa maison (ménage, courses, linge, j’en passe est des meilleurs) est une obligation (sous peine de voir débarquer la DASS le jour où ton gamin se pointe à l’école affamé, des cafards dans les cheveux).

Vous me direz sans doute que, dans le cas où les deux parents travaillent, les tâches sont mieux réparties. Je vous répondrais que, statistiquement : NON. En effet en 2010 selon l’insee ( et 2010, c’était y a pas longtemps, pas longtemps du tout et l’insee c’est un truc sérieux quand même, hein?!), les femmes effectuaient encore en moyenne 71% des travaux domestiques et 65% des activités parentales.

On ne peut donc pas franchement dire que la répartition soit en faveur de la femme.

Et encore, si je prends en compte mon expérience personnelle (à savoir la mienne et celle de mes amies proches) je trouve que ce chiffre est même un peu faible (surtout si on prend en compte la fameuse “charge mentale“).

Pour les quatre femmes sur cinq qui travaillent en étant maman, être mère est donc une charge de travail qui s’ajoute à un métier (le “vrai”, le rémunéré).

Un exemple : Je vais me prendre moi. On est jamais mieux servi que par soi-même…

Mathilde, 30 ans (et une ou deux années, à peine). Maman de deux petites filles ( merveilleuses, en toute objectivité) respectivement âgée de 3 ans et de 3 mois. Employée à temps plein (si, si je vous assure que prof c’est un vrai métier, n’en déplaise aux sceptiques). Qui, quand elle rentre le soir, après sa journée de boulot et sa demi-heure de trajet quotidienne, enchaîne avec son deuxième “emploi”, celui de maman.

Car même si son chéri-chéri aide (loin de moi l’idée de vouloir minimiser son implication dans la vie de famille). Il ne faut pas se voiler la face : il n’y a rien d’équitable dans ce partage des tâches. Du moins pas du point de vu de Mathilde (soit, en définitif, moi. #schizo-schizo).

Tout ça pour dire que si être mère au foyer ce n’est indéniablement pas passer sa journée à glander. Loin de là. Il ne faut pas oublier que, pour les mères qui travaillent, ce n’est pas non plus une sinécure. J’en tiens pour preuve le nombre de burn out maternel chez les femmes actives.

Et si on arrêtez de juger en sous entendant pernicieusement que les mères qui travaillent ne s’occupent pas de leur foyer et que celles qui sont au foyer ne travaillent pas. Si on arrêtez de nous opposer et qu’on se soutenez plutôt…

Car être mère est peut-être un travail difficile, ingrat, répétitif mais c’est le beau de tous.

(enfin… Ca dépend des jours, hein?!^^)

mère au foyer je ne suis pas une poule

8 trucs pour un apprentissage du pot réussi

L’autre jour ma copine Lau’ me demandait comment c’était passé l’apprentissage de la propreté pour Bébou…

Ouiii… Je sais il semblerait qu’il ne faut pas parler de “propreté” mais de “continence”. Il paraîtrait que sinon ce serait considérer un enfant qui fait encore dans sa couche comme sale (non propre, donc). Bon. Soyons honnête une couche pleine de merde c’est quand même bien dégueu ( spéciale dédicace à l’après-diversification!)…

Franchement je trouve ce débat stérile vu que, personnellement, je n’ai parlé ni de “propreté” ni de “continence” à ma fille. Non. Ici on a parlé “pipi”, “caca” et “pot”. La base quoi.

Bref. Je disais donc que ma copine Lau’ me questionnait sur mes techniques spéciales “pipi-caca-pot” et je me suis dit que ce serait sympa de vous donner mes petites astuces après un an sans couche (I’m freeee!! Ah non, zut, plus maintenant…)

1 . Attendre les beaux jours

Ca peut paraître évident mais c’est plus facile quand il fait beau. Moins y a de couches de vêtements plus c’est rapide de se déshabiller pour aller sur le pot. Au pire on met bébé cul-nu (ou presque) dans le jardin et on le laisse vivre à sa guise et si il y a un raté ça passe bien mieux qu’en combi de ski intégrale.

2 . Présenter l’objet

Acheter un pot en avance, expliquer son fonctionnement et le laisser traîner. Il devient alors un objet familier toujours à dispo et sur lequel on s’assoit longuement avec quelques bouquins.

3 . Lire sur le sujet

Ce qui m’amène au point suivant. On ne lit jamais trop d’histoires sur le sujet. Il existe des tonnes de livres pour enfant traitant du passage au pot, à vous de faire votre choix.

4 . En faire une chose banale et naturelle

Chez nous la question des toilettes n’a jamais été tabou (peut-être même est-on un peu trop “détente” sur le sujet #teamporteouverte). Nous lui avons expliqué que tout cela était normale, que tous le monde faisait caca : les hommes, les femmes, les enfants, les animaux, etc. Que c’était un peu comme sortir les poubelles du corps.

5 . Motiver et encourager

Bien entendu il faut considérer chaque passage au pot comme un exploit, ne pas lésiner sur les encouragements voir même se transformer en cheerleader/wooogirl : “Bravo chérie! Tu as fait pipi sur le pot! C’est géniale!! Youhou” (#actorstudio).

On peut aussi mettre en place des outils comme celui-ci afin de motiver :

tableau de motivation à la propreté par "je ne suis pas une poule"

6 . Proposer très souvent

Oui parce que si un enfant a le choix entre s’écouter et aller aux toilettes ou jouer il choisira toujours de jouer. A nous donc de créer des “moments pots” régulier afin d’éviter les petits accidents.

7 . Ne jamais dévaloriser

Car les accidents ça arrive. Ce n’est pas grave et ça peut arriver à tout le monde. L’apprentissage de la “continence” est difficile et il faut bien l’expliquer à son enfant et garder son calme (même si c’est la troisième fois de la journée qu’on change de pantalon…). J’en profite pour faire passer un petit big-up à l’inventeur du lave-linge. Merci, merci, merci!

8 . Ne pas forcer

Rien ne sert de se bloquer. Si ça veut pas : ça veut pas. On réessayera plus tard. On a jamais vu un enfant normalement constitué porter des couches jusqu’à ses 12 ans. Alors patience…

Voilà! et n’oubli pas, toi qui me lit : Il n’y a pas de recette miracle ni de mère parfaite.

On fait de notre mieux et c’est déjà pas mal!

Projet fonte des graisses, le retour.

Bon, ça y est je peux plus reculer. Pas le choix.

C’est le moment idéal. J’ai allègrement dépassé les trente ans. C’est la rentrée (et comme chacun sait il n’y a pas de meilleur moment pour prendre de bonnes résolutions). J’ai remis des piles dans ma balances (paye ta claque en pleine gueule!). Bref, je suis à court d’excuses.

Quand faut y aller, faut y aller…

Je me lance donc (tu l’as sûrement compris) dans un nouveau régime

Oui… C’est loin d’être le premier. Perdre du poids c’est facile :  je l’ai fait un paquet de fois. En reprendre aussi : je l’ai fait tout autant de fois.

Mais cette fois-ci, promis je m’y tiens. Tu vas voir l’internet, je vais me transformer en fit-girl, tu vas halluciner. Bon… Ok. Même moi je n’y crois pas à celle-là (j’aime trop le gras).

Encore une fois je me dis que crier mon régime à la face du monde m’aidera à me mettre un coup de pied au cul quand je serais à deux doigts de renoncer. Car je me connais maintenant (ça fait 32 ans que je me côtoie) et je sais que des moments de découragement il y en aura. Des jours où je me dirais que je peux bien m’autoriser une croustille au fromage et ou je finirai tout le paquet. Des jours où trouverai que non, décidément il fait bien trop froid pour aller au sport ce soir, et puis je couverai pas une angine moi?

Mais il faut que je tienne le coup.

C’est un peu le régime de la dernière chance

D’autant que je vais bientôt être ménopausée. Enfin! Adieu règles, douleur, kystes et nodules. Et bonjour bouffées de chaleur et… Prise de poids.

No Way!

Comme disent les américains. Je suis déjà au plus gras de ma forme (j’ose même pas vous dire mon poids post-accouchement… Si tu veux savoir, petite curieuse, il prendre le poids que j’avais en écrivant cet article et d’y rajouter 10kg. Je te laisse faire le calcul.

Je ferais donc désormais un suivi régulier du “projet fonte des graisses, le retour” sur le blog. Je vais même rajouter une catégorie, tiens! J’y mettrai mes états d’âme et mes petites astuces, mes avancées et mes petites recettes lights (autant que faire se peut avec deux enfants et un agenda de ministre).

Pour l’instant je n’ai pas vraiment de plan d’attaque si ce n’est de manger mieux et moins et de faire du sport (je révolutionne pas le bignou, en somme). Hors de question pour moi de faire un régime à la mode des magazines. A base de “perdez 30kg en 2 semaines en ne mangeant que des citrons”.

Non, non. On reste raisonnable, on mange de tout, on se fait plaisir pour tenir la distance et on bouge son boule.

Voilà. Maintenant y a plus qu’à! La suite au prochain numéro…

régime je ne suis pas une poule

Ah et au fait… Rien à voir mais y a un chouette concours à la fin de mon dernier post. Vas voir!

Sur papier glacé

Ouh là là! Pas un mot en un mois et là deux articles le même jour! Elle a craqué la poule! Ou alors elle a congelé ses enfants et s’est barrée sur une île déserte où y a le wifi (pas folle la guêpe!).

Que Nenni! J’ai juste acquis la capacité incroyable d’écrire avec un doigt tout en donnant le biberon à Lissou (oui, c’est long, mais ça vaut le coup!).

En fait je me suis dit que, tant qu’à vous parler des photos de Vanessa Perret, autant vous parler de ce que j’en ai fait après. Bah oui, c’est bien beau de faire de jolies photos mais on ne va quand même pas en tapisser les murs de sa maison. Quelques cadres bien placés suffisent. Et pour ça faut les faire sortir de son ordinateur (si siii!).

Et puis, on a pensé que ce serait une chouette idée d’offrir des photos de nos filles à leurs grands-parents, leurs arrières-grands-parents, et tuti quanti. Et, comme ça se fait bof d’offrir une photo en numérique (surtout à pépé jeannou qui n’a pas d’ordinateur!) il a fallu les imprimer (je suis un génie! si siiii!^^).

Et hors de question d’imprimer avec notre vielle imprimante pourrie!

Si on doit se faire tirer le portrait par une pro autant rester pro jusqu’au bout. C’est pourquoi nous avons fait appel à smartphoto pour coucher nos beaux clichés sur papier glacé.

Pour les tirages comme pour les poster (j’ai pas tiré nos tronches en quatre par trois, rassure toi) je suis ravie du sérieux, de la qualité et de la rapidité de Smartphoto.

Attention toutefois à bien décocher la retouche automatique (dans les préférences du compte) si, comme moi, tes photos sont déjà retouchées.

Mais au final le résultat est parfait!

Demande à Maminette ^^

cadeau smartphoto by je ne suis pas une poule

Et comme je suis sympa :

Y a 30€ en bon d’achat à gagner chez Smartphoto !

Pour cela il te suffit de me dire ce que tu en feras en commentaire, sous cet article et/ou sur facebook et/ou sur instagram. Bien entendu si tu commentes partout tu augmentes tes chances (et puis si le coeur t’en dit tu peux mettre un petit coeur au passage, ça fait toujours plaisir!).

Tirage au sort prévu la semaine prochaine.

Produit offert. Encore merci à Ellen de Smartphoto pour sa patience et son professionnalisme.